- appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb;
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Wilhelmina M. E. Beckett
«TYRANNICfonda'» ~ director & potionsmaster sadic
Nombre de messages : 82 Age : 32 localisation : « à expérimenter de nouvelles potions pour dominer le monde » — âge rp : « vous voulez mes mensurations aussi? trente ans. l'âge de la perfection » — sortilège — potion fétiche : « endoloris . polynectar » race : — demi-vélane animal de compagnie : « cutlerounet. mon chihuahua. » petit message : « la fascination et le talent ne porte pas de nom tant qu'il ne porte pas le mien » Date d'inscription : 21/02/2009
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Sujet: - appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb; Mar 24 Fév - 2:35
« the show must go on after drama » avant, je vous aurais dit que la plus belle chose au monde était de se sentir aimé. mais maintenant, voir ces regards haineux sur votre personne ne me procure qu’une entière satisfaction. vous me trouvez détestable, grand bien vous fasse.
wilhelmina merry eudoxia beckett* _merry, merry christmaaaas! « b e c k e t t » ; nan mais oh! c'est quoi ces conneries? fermez-là ou j'vous avada kedavrise!
Dernière édition par Wilhelmina M. E. Beckett le Ven 6 Mar - 7:30, édité 6 fois
Wilhelmina M. E. Beckett
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Sujet: Re: - appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb; Mar 24 Fév - 3:08
II. Fiche rp.
_« {{ Votre personnage – Briefing. »_
_.:: Nom & Prénom(s) »_ beckett; wilhelmina, merry, eudoxia _.:: Date de naissance & Âge »_ vingt-sept novembre mille-neuf-cent-cinquante et un ; trente ans _.:: Race »_ demi-vélane _.:: Maison »_ anciennement serpentard; directrice de cette même maison _.:: Matière enseignée »_ l'art subtil des potions magiques _.:: Nombre d'année d'enseignement »_ première année, est une petite nouvelle dans l'enseignement pur et dur _::. Métier »_ anciennement membre du ministère de la magie, au département de la justice magique _.:: Pouvoirs spéciaux »_ animagus non déclaré
_« {{ One Upon a Time. »_
« parce que tu es chaud et tu es froid »
DOCTOR = « I am sorry, but further to his accident … We made all that we could … » BECKETT = « What say you? What she has? Why she does not react in front of me! It has been six months since she is there! Why is not she still woken?! » DOCTOR = « … She is in the coma, since. I am sorry, but there are few chances that she wakes up one day. » Il marqua un blanc. Voyant le silence sinistre qu’il avait créé. « And, the eyes have irreversible internal hurts. If she wakes up, she will need all your help. She is blind, for ever. »
Ses iris verdâtres de blonde croisèrent le corps inerte de sa génitrice, sur ce lit d’hôpital. Une grande blonde, à la peau pâle, au visage d’ange malgré ses trente-huit ans. Cela faisait six mois. Qu’elle était dans le coma à St-Mangouste. Ne se réveillant toujours pas. Qui plus est. On lui annonça que si jamais son sommeil se verrait troublé, sa vue resterait dans le noir à jamais. Elle serait aveugle. A cet instant, Wilhelmina eut envie de partir, loin, de crier sa haine, envers les dieux qui l’avait abandonnée. Mais au fond, Willie aurait-elle le temps de s’occuper davantage de Mary ? Sa mère avait toujours été présente pour sa fille unique. Oui, unique. L’élevant en solitaire. La petite, dépourvue de figure paternelle toute son enfance, pour cause, son père était partit, dés qu’il apprit que cette dernière était enceinte. Mais pas de lui. D’un autre homme qui fut son amant juste avant qu’elle ne le laisse pour son futur mari. Hors, un jour, elle lui annonça, il prit l’événement pour une trahison, alors que ce n’en était pas vraiment une. Et il la quitta. Ne pouvant supporter que la fille qu’il aurait toujours voulu n’était pas la sienne, mais celle de cet homme qu’il méprisait tant. Il pensait avoir gagné, en ayant le cœur de Mary, contrairement à lui, mais lui, avait gagné quelque chose qu’il n’avait pu prévoir. La faire tomber enceinte. Le temps avait passé, les blessures s’étaient refermées. Mais la solitude pesait sur leurs cœurs. Du moins, Wilhelmina, n’y faisait pas attention, privée d’un père, elle recherchait le contact masculin, si bien qu’elle perdit ce que perdent toutes les femmes très tôt. Mary, la laissait faire, voyant qu’elle ne pouvait lui infliger une autorité secondaire, étant donné que sa propre fille se mettait à l’ignorer, à disparaître. Pourtant. Ce ne fut qu’à Poudlard qu’elle devint aussi tyrannique. Lorsqu’elle reçu sa lettre, elle ne montra aucune émotion, aucune réaction, comme si son visage était éternellement dans l’indifférence totale. Le jour de son départ, elle ne jeta aucun regard vers le quai, aucune larme, aucun signe de tristesse de quitter la maison familiale. Cet appartement en plein cœur de Londres. Sa mère qui se démenait pour les faire vivre, n’ayant pas de grandes qualifications. Oui. Wilhelmina n’est pas née d’une cuillère dans la bouche. Mais d’un milieu très modeste, si son père été resté, la donne aurait changée pour plus de luxe. On ne récolte que ce que l’on sème. Et c’est avec cette notion en tête, que le travail devint sa première préoccupation, sa seule motivation. Devenir riche.
Alors aujourd’hui. A siroter des coupes du champagne le plus cher, se promener en tailleurs de marque, prendre des rendez-vous chez le coiffeur sorcier le plus côté de la ville. Etait devenu une de ses nombreuses habitudes. De profiter des fruits de son travail, de son acharnement. Avant, ce n’était pas le cas. Lorsqu’elle étudia à Poudlard ; son caractère montrait bien sa puissante ambition et dévotion, voilà la raison pour laquelle notre charmante blonde fit ses marques à Serpentard. Elève préférée de son professeur de Potion, fascinée par cet art subtil, elle fut la première de sa classe, la première de sa promotion. L’une des plus brillantes élèves du château. La petite aurait-elle l’air d’une miss-je-sais-tout ? Oh, loin de là. C’était une fabuleuse et magnifique adolescente, blonde, fine, se maquillant avec outrance, adepte de la suprématie du sang pur et des relations avec les plus beaux garçons du château. Considérée comme une mante religieuse, une briseuse de couple et une garce. Oui. Poudlard avait bien la plus somptueuse des garces. Chef d’un petit groupe de Serpentards, elle les menait à la baguette, ils se croyaient ses amis, mais a-t-elle eu réellement des amis, ou a-t-elle réellement voulu en avoir ? Non. Wilhelmina Beckett n’avait besoin de personne. Les autres ? Juste des pions sur son immense échiquier qui la monta au plus haut des échelons au fil des ans. C’est de là que devint sa plus grande fierté, sa faculté à manipuler son entourage à des fins typiquement égoïstes et personnelles. Notre princesse n’était que plus fascinée par la magie noire, elle l’étudia avec ses condisciples de Serpentard, en secret, élaborant des potions pour faire des sales coups aux Gryffondors, amis des Moldus ou Sang-de-Bourbes dans les toilettes du deuxième étage. C’était un génie en la matière, en potion du moins. Personne ne l’égalait dans cet art, et très tôt elle fut capable d’élaborer les plus compliquées breuvages du monde sorcier. Pour les utiliser aux dépend des autres, pour son bon plaisir. Considérée comme la reine des Serpentards. Tellement ses exploits et rumeurs circulaient sur son petit groupe de faux-culs et d’hypocrites invétérés. On venait même à les craindre, à la craindre, et à l’idolâtrer, les plus jeunes de la maison des serpents l’adoraient. Ce n’était pas le cas des autres. Détestée, crainte et aimée. Son quotidien ne changea pas à trente ans. Sans doute par nostalgie, une fois au sein du château pour un tout autre poste, notre sulfureuse demoiselle créa ce club réservé aux personnes au potentiel d’exception, qu’elle-même jugerait. Le Dark Bloody Club.
Tic tac. Tic tac.
Dernière édition par Wilhelmina M. E. Beckett le Ven 6 Mar - 1:53, édité 5 fois
Wilhelmina M. E. Beckett
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Sujet: Re: - appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb; Mar 24 Fév - 3:11
« nous ne sommes pas là pour jouer les parents cools »
Driing. Driiing. Fait le cadran du réveil. Bam. Paf. Fait ce même cadran balancé contre un mur. Une main se discerna sous les épais draps en satin d’un blanc perle. Puis une épaisse chevelure soyeuse blonde. Une jeune femme posa les pieds sur la moquette et marcha sans état d’âme jusqu’au premier obstacle sur son chemin rencontra. Elle saisit une boite de cigarette et d’un bref mouvement de main l’alluma d’un briquet couleur or. Inspirant profondément cette fumée nauséabonde comme son précieux oxygène. La pièce se retrouva vite sous un brouillard irréel ; pour aérer elle ouvrit la fenêtre brutalement et un courant d’air froid s’immisça dans sa chambre d’hôtel cinq étoiles. Jusqu’à la faire frissonner. Cela faisait une semaine qu’elle restait cloîtrée ici, après une lettre qui lui avait été adressée, une lettre lui donnant un poste plus conséquent à sa splendeur. Sans sortir, sans voir personne, sans parler à quiconque. Elle devait y réfléchir, seule à seule. On raconte aussi, que le passé y est pour quelque chose, lorsqu’une femme désire rester seule, que lorsqu’une femme fait une fausse couche suite à une chute brutale dans un escalier, cette dernière se retrouve sans âme, perd toute force de vivre, de se battre pour cette vie qu’elle considère comme réduite en fumée. Toutes les femmes, sauf une. Wilhelmina Beckett. Qui ne prenait que d’adorables vacances au bord de la mer. De là où elle se trouvait, elle apercevait la plage de Miami. Soupir. La membre du ministère effleura son peignoir qui tombait de plusieurs centimètres à ses pieds, uniquement vêtue de sous-vêtements en dentelle rouge, et d’un porte-jarretelle maladroitement attaché à des bas noirs. Sa cigarette entre ses doigts, déambula dans la chambre de l’hôtel, jusqu’à entendre quelques coups sourds à la porte. Soupir. Elle refusait de se voir dérangée, mais ce fut plus insistant. Alors, dans l’espoir de foutre dehors la première personne qui s’interposerait dans son havre de paix, accéda à sa demande en ouvrant la porte. Ce qu’elle vit la renversa littéralement au sens du terme. On se jeta sur ses lèvres. Il la prit par la taille et l’embrassa langoureusement, pendant que lentement, elle ferma la porte d’un coup de pied pour prendre son dos comme appui à ses mains frénétiques. Un autre homme avait comblé sa vie, un autre homme lui avait projeté un autre regard sur sa perte entant que mère. Et totalement, elle oublia la personne qui lui avait rejeté une faute qu’elle n’était pas responsable, cet homme, fut son nouvel amant. Jusqu’à maintenant encore.
Deux ans auparavant … Si on pouvait remonter dans le temps. On remarquerait que Wilhelmina Beckett était une personne totalement contradictoire et une personne qui détestait, par-dessus tout, être contredite. Par qui que ce soit.
BECKETT = « Sorry? Do I have to take that for one not? » MAYFAIR = « Miss… I have make all that I was able to … » BECKETT = « I do not consider it as being enough. You are given to you in pourcent one hundred on this work? » MAYFAIR = « I…Naturally. » BECKETT = « I doubt it. Begin again that. You have two days. » MAYFAIR = « But that has me set one week … » Elle lui jeta un regard glacial. Imperturbable. On ne devait la contredire. Brenda hocha fébrilement la tête et quitta la pièce, emportant sa feuille avec elle. Que sa patronne considérait comme totalement bâclée.
Lorsque la jeune brune nommée Brenda Mayfair eut quitté la pièce. La blonde soupira d’exaspération. Se leva rapidement de son siège et arpenta la pièce jusqu’à s’arrêter devant une étagère, sa main effleura quelques ouvrages ; dont un qu’elle saisit pour l’ouvrir à une page déjà entamée. Un marque page l’avait arrêté. En cette sainte journée, de début d’automne. Mademoiselle Wilhelmina Beckett, était montée au grade de directrice du département de la Justice Magique. Et à en voir les employeurs qui ne cessaient leurs allers et venues dans ce bureau, ressortant blancs comme un linge, certains pleurants presque. L’automne n’était pas la meilleure période pour leur patronne. Et ce n’était le début de l’année. Prévoyant un hiver tout à fait glacial.
Seulement, étais-t-on à l’abri des retournements de situation. Ces fatalités qui vous font dévier totalement ? Même miss Beckett, n’y était pas protégée. Ce ne fut qu’un jour, en sortant du département de la Justice Magique pour faire son break matinal devant cette incompétence qu’elle qualifiait de perturbant et de totalement effarant, qu’elle croisa l’homme qui allait être le père de sa future fausse couche. Tikaani Madero. La première fois que la détestable patronne croisa son regard, ce fut pour lui rire au nez. Devant une plaisanterie qu’il tenta de la faire rire ; et qui ne la fit justement absolument pas rire. On aurait pu penser également que c’était le début d’une relation défectueuse, qu’à chaque fois qu’elle le croiserait dans les couloirs du Ministère, ce serait pour se moquer de lui ou le prendre pour sa énième victime. Mais pourtant. Un autre jour, ils discutèrent posément, par hasard, une tasse de café en main. Ils se lièrent d’amitié, pour finir liés par un tout autre lien. Celui de partenaires d’une nuit. Cette même nuit, fut le premier pas vers une annonce tout bonnement effrayante et non désirable. Autant le dire, autant le chanter, autant le crier sur tous les toits. Willie Beckett se refusait d’avoir un enfant, chose qu’elle méprisait plus que tout au monde. Cependant, c’était ainsi, elle s’y était résignée et au fil des semaines, de ses nausées et de ses malaises ; elle se mit à imaginer envisager un enfant. S’attachant à ce bébé. Tikaani était toujours auprès d’elle, l’aidant, la traitant comme une princesse, il désirait également cet enfant. Hors. Une nouvelle ne vient jamais seul, sans un malheur lui tenant la main. Willie fit une chute, un jour, dans un escalier. Depuis ce jour, elle s’enferma dans le noir. Car on lui annonça, que le bébé était mort sous la chute, elle fit une fausse couche, à son troisième mois. Alors que sa grossesse ne se voyait pas encore, alors qu’elle paraissait être taillée comme un mannequin des podiums de Milan, alors que seule elle et Tikaani, le savait. Après sa chute, elle comblait ce manque par le travail et le shopping. S’achetant tout ce qui était hors de prix. Elle donnait l’impression de s’en ficher totalement. Totalement. Hors ce n’était qu’une apparence, afin de cacher sa souffrance intérieure. Que même lui, n’avait pas sentit. Ce jour-là, un jour où il pleuvait à Londres, capitale Anglaise. Il commit l’acte irréversible de la contredire. Ce qui mit fin à tout. Déjà, qu’à l’annonce de la fausse couche, ils ne pouvaient plus se voir, se parler, et s’aimer, comme avant.
MADERO = « Don’t speak me, please. » BECKETT = « I ask you to excuse me? How you speaks to ME ? » MADERO = « I don’t want to see you ! » Murmura-t-il, tremblant presque. BECKETT = « That falls badly, because we have to talk. We need to talk. Of this child. » MADERO = « What child ? You killed him ! » Ce fut le mot qui déborda le vase. Tuer. BECKETT = « What ?! » MADERO = « It is your fault if he died, it is your fault! Your fault!! » BECKETT = « … It is of what you think? Well. » MADERO = « It is your fault …Don’t speak me ! Don’t look at me! I hate you! » Il la gifla. BECKETT = « …Imbecile ! » Siffla-t-elle rageusement sortant sa baguette magique et la pointant sur lui. Une lueur traversa ses iris verdâtres mais elle ne fit rien. Sa colère l’assaillait, une pulsion rageuse l’empêchait de ne pas le viser. Mais elle partie, avant de s’énerver pour de bon, et de laisser ses pensées devenir des actes.
Dans son bureau, elle claqua la porte brutalement. D’un bruit tellement puissant qu’on du l’entendre de l’autre côté du département. Et elle perdit son sang-froid, prenant un vase qui se trouvait à sa portée pour le jeter sur le mur lui faisant face. Ce dernier se brisa en mille morceaux.
S’en était fini. Définitivement, de leur relation. Et au fond, ils s’y attendaient tous, depuis le début.
Dernière édition par Wilhelmina M. E. Beckett le Ven 6 Mar - 2:13, édité 3 fois
Wilhelmina M. E. Beckett
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Sujet: Re: - appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb; Mar 24 Fév - 3:17
« on ne nomme fascination qu’une personne totalement fascinante »
Un matin. Où le soleil perçait dans les nuages ses doux rayons lumineux. La silhouette désobligeante d'une blonde à la chevelure flamboyante et au tailleur de marque sorcier, aux escarpins de cinq centimètres se discerna en plein Londres. Dans son sac à main suspendu à son épaule gauche; des lettres. Depuis quelques mois, tout le monde sorcier était au courant. De la démission du précédant directeur, mort. Et la nomination d'une nouvelle tête, un nouveau visage. Celui d'une femme nommée Wilhelmina Beckett. Elle lui succédait, et cette affaire assez louche n'était pas sur le point de s'arrêter. Des regards se tournèrent vers elle, certains la reconnaissaient, d'autres l'admiraient, ou la jalousaient. Un quotidien malheureux, n'est ce pas?
Hors. Une fascination, une ombre ne vint jamais seule. Sans son lot de malheurs en perspective. Plus tard dans la journée, elle arriva au domicile d'une certaine famille illustre pour être un des plus puissants clans vampiriques. On la prit pour une folle, avec ses lettres, d'après les jeunes futurs étudiants. Ils ne la croyaient pas. Hors, une chose qu'elle ne précisa pas, était que cette idée de réunir tout le monde; était la sienne. Pourquoi? Pour une cause qui vous restera inconnue...Que ce soit une ambition, un objectif ou un but. Son silence restait le sien jusqu'à sa mort, ou jusqu'à ce que le moment soit réellement venu de passer sous confession.
Une autre de ses raisons de se déplacer en personne, était que miss Beckett était une proche amie de cette famille. Étrange. Pour une humaine d'origine vélane de côtoyer des vampires. Mais parfois, une lutte, un camp, réunissait les plus improbables créatures du monde magique...Dans cette même famille, trônait une de ses plus brillantes élèves, à présent, Ailyn. Une de ses chouchoutes attitrées et membre de son club privé. Cette dernière restait effrontée, mais au fond, Wilhelmina la laissait dire ce qu'elle voulait, avec le temps, elle apprit à la cerner et on ne changeait pas le tempérament fougueux d'une jeune file de son genre. Et puis, son caractère n'était pas si mal forgé que ça; quelqu'un de sa trempe s'attirait moins de problèmes en tranchant l'œuf dans le vif, en ne perdant pas de temps, en préférant l'action aux mots. Bien que ce fut l'inverse pour W., qui elle, la diplomatie était plus de ses cordes. Ayant un flegme britannique hors norme et une tendance à tourner autour du pot avant d'en venir au réel but de sa visite. Alors décidément, Ailyn avait pour W. fait ses preuves et méritait amplement sa place. Restait à voir si elle se tiendrait aussi bien que cela en cours...
Poudlard. 1980. Que réserverait donc cette année, sous le joue d'une directrice acerbe et froide, d'où les apparences, sa seule motivation serait de ramener toutes les créatures les plus sordides du monde, en confrontation?...
Dernière édition par Wilhelmina M. E. Beckett le Ven 6 Mar - 7:07, édité 2 fois
Wilhelmina M. E. Beckett
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Sujet: Re: - appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb; Ven 6 Mar - 1:59
_« {{ All about... »_
_.:: Votre patronus »_ un serpent. _.:: Votre sortilège fétiche »_ endoloris. le sortilège de la douleur; ou doloris. _.:: Votre potion fétiche »_ le polynectar. oh combien de fois m'a-t-il été utile. c'est la première potion que j'ai réalisée avec succès dans ma jeunesse. _.:: Votre animal fétiche »_ le chat. je me métamorphose entant qu'animagus; en cet animal. _.:: Votre matière favorite »_ les potions. classique, j'enseigne cette matière désormais. _.:: Votre thème musicale »_ i will be . leona lewis
_« {{ You. Under your Mask. »_
_.:: Votre nom ou pseudo »_ lady l. pour le peuple graphique et becki pour les intimes _.:: Votre âge »_ seize ans. ouéé, l'âge de se droguer, de boire, de s'entretuer, de faire du sexe, bref, tout _.:: Comment avez-vous découvert Maelificarum »_ je l'ai créé avec ma aily' chou, voyons stupid student! =P _.:: Que pensez vous du design? Du contexte? Bref du forum »_ le design je n'en parle pas, je l'ai créé, et je suis pas modeste contrairement à ce qu'en pensent certaines x) quand au contexte, je l'adore, bravo aily'! _.:: Note de présence sur 10. »_ vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jour sur sept, quand vous voulez mes chéris <3 _.:: Code du règlement. »_ codex valided by becky' _.:: Célébrité sur l'avatar »_ la pétillante charlize theron
Ailyn E. de Longsdale
«. Bloody&Devil Admin. » ~ Slytherin Vampire.
Nombre de messages : 994 Age : 31 localisation : Dans le cimetière de tes rêves. âge rp : 117 ans., bien qu'il soit impolis de demander. Mais j'en parais 17. sortilège — potion fétiche : Sectumsempra & Veritaserum race : — vampire animal de compagnie : Mon serpent Nagini =) photo d\'identité : petit message : « My heart is a Devil's creation. » Date d'inscription : 22/02/2009
Sujet: Re: - appelle-moi; bip-moi; et jusqu'en en enfer embrasse moi. (…) •• « b e c k e t t » is a sex bomb; Ven 6 Mar - 17:14
Hey my dear! Heureuse que tu ai finis ta fiche ^^ J'aime beaucoup, j'ai un peu de mal avec les dialogues en anglais mais je m'en suis sortie! mdr. J'aime tes compliments, t'es sur la bonne voie =D
Au fait, un petit PS d'Adri: Il est déçu de ne pas être dans ton histoire! mdr. Maintenant que c'est dis il me fichera la paix =)
Allez, je te valide ma chère, en espérant bientôt rp <33
Valendra von Riesling
« Venimous Beauty » ~ Vampire
Nombre de messages : 459 Age : 34 localisation : Anywhere..Anytime. Beware !!! âge rp : 17... ou 165 sortilège — potion fétiche : Stupefix race : — demi-vampire animal de compagnie : / photo d\'identité : petit message : " Le monde est un bourbier. Tâchons de rester sur les hauteurs." Date d'inscription : 27/02/2009
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