Olathe W. Madero [En construction]

Infinité de destin. On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?

{{ Votre personnage – Briefing.

.:: Nom & Prénom(s) :

Olathe Wiona Madero_

Olathe ; prénom qui correspond tout à fait à la jeune femme puisqu’il signifie « belle » dans la culture Shawnee, au nord de l’amérique ; car, même si l’on soutient que la perfection n’existe pas et qu’il y a des beautés plus fascinantes que la sienne, il faut au moins admettre qu’il n’y a rien à lui reprocher, juste à lui envier. Son deuxième prénom est Wiona, originaire une fois encore d’Amérique du nord, il signifie « fille première née » dans la culture Sioux ; en effet la jeune femme est la première enfant des Madero, et l’unique...

.:: Date de naissance & Âge : Une date, abstraite, le 20 du mois d’Octobre. Il n’y a que l’année qui est exacte : 1942. Olathe a donc 39 ans, mais en paraît quinze de moins.

.:: Lieu de naissance : La jeune femme est née au Groenland, bien loin du continent Australien qu'elle considère comme sa terre natale. Après-tout, elle n’a aucune raison de remettre en doute ses origines...

.:: Race: Femme-Louve, la jeune femme n’a jamais eu de problème à accepter sa condition. Si ce n’est les nuits où la lune impose un règne complet, là seulement la jeune femme préfère se retirer dans ses appartements. Devant la lune, l’étoile s’efface…

.:: Maison: La jeune femme n’a pas étudié à Poudlard, mais chez elle avec un précepteur.

.:: Métier: Olathe travaille pour le ministère de la magie, elle est envoyée au sein de Poudlard pour surveiller ce qui s'y passe.

.:: Pouvoirs spéciaux : ///

{{ Physical and Psychological Descriptions.

.:: Physical Description.

.:: Psychological Description :

Un caractère réglé comme une partition de musique, complexe et fascinante. Lorsque l’on écoute un morceau musical joué par une personne de talent, on a tendance à se laisser croire que tout est simple, que tout est due ; les notes coulent comme une évidence, les unes après les autres, sans accro, ni problème, tout est beau et harmonieux. Seulement, la réalité est bien plus complexe, le musicien a mi du temps, beaucoup de temps à s’approprier le morceau, à apprendre et comprendre les notes, à les manier, à connaître par cœur chaque intensité de son instrument, à savoir procurer à son auditeur un plaisir aussi délectable… Le splendide transcenderait donc la difficulté. Pour Olathe c’est la même chose. Elle peut semblait si douce, si délicate et innocente alors qu’en réalité, la jeune femme est bien plus complexe qu’il n’en paraît ; elle entretient un perpétuel mystère en ne dévoilant rien sur elle. Voilà l’art d’être une femme de ce nom.

Noble alliance entre la sagesse d’esprit et la curiosité, Olathe s’intéresse à tout. Elevée dans un milieu doré, la demoiselle a très vite touché à tous les arts du monde : musique, danse, lecture, écriture, poésie, peinture… Cela fait d’elle une personne ouverte et cultivée, sensible à l'harmonie, à la beauté et à l'esthétisme. Enthousiaste, elle donne généralement à sa vie, une dimension ludique et raffinée, confortable. En contrepartie, Olathe reste une éternelle insouciante. N'ayant jamais manqué de rien, les contraintes pratiques ou matérielles ne la concernent pas. D’une manière générale, elle tient les tâches répétitives, ou les impératifs quotidiens en horreur. A la monotonie de certains, elle oppose le charme et la fantaisie. Et peu ont jamais résisté à son charisme indéniable, ses humeurs enjôleuses ou ses caprices.

Olathe est une femme dont l'idéal de perfection motive les attitudes responsables, le dévouement à un groupe, une famille, sa patrie... Sa soif d'équilibre lui fait bien souvent adopter des attitudes intransigeantes, voire tyranniques, revers de la médaille d'un souci constant d'équité, de justice parfois déçu par la réalité telle qu'elle est. Elle est extrêmement perfectionniste dans tout ce qu’elle entreprend. Elle peut paraître hautaine au premier abord mais ceci n’est qu’une impression, en effet la jeune femme est généreuse et compréhensive et ne déconsidère personne à première vue. Malgré ce que l’on peut croire dans les milieux qui touchent à la haute société, Olathe n’a pas d’idées préconçues ni de préjugés, elle se fait ses propres opinions du monde, elle acquiert les vérités par le seul moyen de son intelligence. Sinon, la jeune femme a une peut terrible de l’abandon et du manque de limites des autres… Elle est également active, maligne, rusée, impatiente et très attachée à ses parents. Olathe a un goût prononcé pour l’art oral et aime faire preuve d’ironie.

.:: Like / No like.

{{ Once Upon a Time…

Octobre 1945 :

L’homme considéra quelques instant le chérubin blond qui sommeillait dans son landau. Puis, il s’en détourna et se dirigea vers son bureau où Monsieur et Madame Johnson l’attendaient. D’un geste de la main il les invita à s’asseoir et prit lui même place derrière son imposant bureau.

- Bonjour , je suppose que vous savez pourquoi j’ai requis votre présence ?

- Pour être honnête monsieur…non, nous n’en avons aucune idée. Répondit Jayden Johnson, légèrement contrarié.

Jayden Johnson était un galant homme, la prospérité de sa famille l’avait mis à la tête d’une fortune colossale qui faisait de lui un homme admiré et respecté. A l’âge de 20 ans, il fit un mariage d’amour avec Eileen, fille unique de la maison de Clèves, une maison sans prétention mais avec de bonnes mœurs. Eileen fut mise au courant de la nature de son gendre et elle se maria donc en connaissance de cause ; ils n’avaient aucun secret l’un pour l’autre. Quoique la passion de Jayden pour Eileeen, eut commencé il y avait plus de quatre ans, elle n’en était pas moins violente et il n’en donnait pas des témoignages moins éclatants, ils étaient très heureux. Mais, ils l’auraient été d’avantage si Eileen ne s’était pas découverte dans l’impossibilité de donner la vie.

- Vous aviez bien fait une demande d’adoption, je ne me trompe pas ?

- C’est exact, mais il n’y a pas eu de suite à notre demande compte tenu de ma nature qui a était jugé… problématique.

- C’est justement pour discuter de cela que je vous ai convoqué aujourd’hui, il y a peut-être un moyen de contre-balancer cette décision…

En entendant ses mots, une vague d’espoir envahit Eileen Johnson et elle considéra l’homme avec une attention toute particulière. Lorsque la décision de ne pas donner suite à leur demande d’adoption était tombée, la jeune femme s’était effondrée, regardant son dernier espoir d’être mère prendre le large. Et aujourd’hui cet homme prétendait pouvoir changer cette fatalité , c’était trop beau pour la jeune femme qui n’y croyait plus.

- Bien sûr, quelques inconvénients pèsent dans la balance…

- Nous ferons n’importe quoi ! Avoir un enfant est notre vœu le plus cher, nous serons prêt à payer ce qu’il faudra ! S’empressa t-elle de répondre.

N’importe quel prix. Rien ne serait de trop pour avoir un enfant. Rien n’est comparable au bonheur d'être mère.

- Et bien nous avons une petite fille âgée de trois ans qui a besoin de trouver un foyer, cependant elle est placée sous la surveillance du ministère et le restera même après son adoption. De ce fait, aucune décision la concernant ne pourra être prise sans l’accord du ministère. Par ailleurs celui-ci se réserve le droit d’intervenir dans son éducation à n’importe quel moment. Cela vous-intéresse t-il ?

Sombre affaire qu’était celle-ci. La petite dont il était question se prénommait Olathe Wiona Madero et avait été arraché à sa famille quelques mois auparavant. La guerre faisait rage et les autorités des Etats-Unis s’étaient mis en quête de soumettre les lycans à leur conflit contre les allemands. Les parents de la petite furent tués dans l’affrontement, son frère et elle, emmenés par les soldats américains. Les deux enfants furent séparés ; Olathe ne reverra jamais son frère. La petite fille resta plusieurs semaines sous la garde des américains, jusqu’à ce que le ministère de la magie apprenne l'abérration et relâche les lycans. Tikaani, le frêre de Olathe fut placé dans une nouvelle famille alors que l’avenir de la petite se jouait en ce moment même, dans un des bureaux du ministère. Son avenir dépendait de ce qu’allait décider monsieur et madame Johnson. Avoir un enfant était leur vœu le plus cher et cette opportunité était la dernière qu’il leur sera faîte, ils le savaient pertinemment ; ils ne pouvait se permettrent de faire la fine bouche.

- Nous acceptons ; bien-sûr… répondit Eileen Johnson, dans un hoquet d’émotion.

- N’acceptez pas trop vite, il y a encore beaucoup de points sur lesquels nous devons discuter. Premièrement vous devrez changer de nom pour prendre celui de la petite, afin de permettre un suivi plus aisé de l'enfant par le minisère ; vous vous appellerez donc monsieur et madame Madero. Oui, l’enfant s’appelle Olathe Wiona Madero, j’ai oublié de le préciser…

Olathe Wiona Madero… ils l’aimaient déjà. Leur petite fille.

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Extrait du journal d’Eileen Madero :

Voilà Olathe qui gambade partout dans la maison, au lieu de rester sagement installée dans sa chambre ! Mais peut-on seulement lui en vouloir ? Cela me ravi le cœur de la voir si gaie… je n'ai pas la force de la gourmander, ne serait-ce qu'un instant. Cela fait maintenant 3 ans qu’Olathe est dans notre famille et je dois dire que je l’ai aimé à la seconde même où j’ai posé les yeux sur elle. Elle est la plus belle chose qui ne nous soit jamais arrivé, à Jaylen et à moi. On n’aurait pu espérer petite fille plus adorable, vous la verriez dans sa petite robe de mousseline ! Son père en est fou. Il n’y a pas que lui d’ailleurs, plusieurs maison de grande distinction ont déjà dans l’idée de s’allier avec la nôtre. Jaylen et moi sommes bien d’accord sur ce point, notre fille se mariera avec celui qu’elle aura choisi et non par souci de bienséance. Pour l’instant le ministère est resté distant quant à l’éducation d’Olathe, sûrement n’a t-il rien trouvé à redire… Il est vrai que nous procurons à cette enfant la meilleure éducation possible. Heureusement, elle se montre intéressée et par dessus tout… douée. Je vois bien qu’elle est beaucoup plus discrète que les autres enfants de son âge, plus maligne et bien plus intelligente. Ce qui me permet sans peine, malgré son jeune âge de l’emmener voir des ballets, des opéras, des pièces de théâtre… elle se tient toujours parfaitement. Et si aujourd’hui elle est autant enthousiaste, c’est parce que son père l’emmène «en promenade »…

J’avouerais sans honte que je suis quelque fois un peu dépassée par ses transformations, et que son père prend cela en charge mieux que moi. Il paraît que c’est normal à cet âge là, elle se cherche m’a t-il dit, soit. Une fois elle est restée sous la forme d’un loup une semaine entière avant d’en rechanger, j’ai eu peur que jamais plus elle ne redevienne une petite fille. Mais ce sont des inquiétudes que n’importe quelle mère aurait dans pareille situation… J’ai tendance à vouloir la surprotéger. Une de mes grandes craintes serait qu’elle apprenne son adoption, le ministère nous a clairement fait comprendre qu’elle ne devait en aucun cas savoir, sous peine de lourdes réprimandes. Je ne préfère même pas m’imaginer. Enfin le ministère de la magie a fait ce qu’il fallait... Il a ôté le nom de Johnson des mémoires pour faire place à celui de « Madero »… toutes ses complications me dépassent, je ne comprend pas l’acharnement du ministère… la seule chose que je sais c’est qu’Olathe est ma fille, que je l’aime et que pour elle je serais prête à n’importe quelle concession.

Il semblerait qu’Olathe soit une sorcière. Si je dis ça c’est parce que la dernière fois je l’ai surpris en train de faire l’éviter son violoncelle ! Chose peut commune… n’est ce pas ?! Je ne suis pas sorcière, Jaylen non plus, nous ne connaissons quasiment rien sur ce sujet, mais comme toujours nous allons faire pour le mieux. Pour commencer, je vais faire appelle à un excellent précepteur de magie…

Olathe W. Madero [En construction] 2j34hvt

Extrait du journal d’Olathe Wiona Madero :

Ce soir, moi Olathe, héritière des Madero, je viens de célébrer mon vingt et unième anniversaire. Une fête somptueuse a donc été organisée dans le manoir où toute l’aristocratie australienne était conviée pour l’occasion. Chacun redoublant d’originalité pour le choix de leur cadeau gorgé d’or et d’hypocrisie. On pouvait y trouver un buffet composé des meilleurs mets du pays et des meilleurs crus d’europe. Des cuisiniers engagés pour l'événement s’y préparaient depuis une semaine déjà. Il y eu aussi un bal en mon honneur. Où tous les hommes en age de se marier se sont empressés de vouloir danser avec moi. Alors j’ai joué mon rôle. Fière, distinguée, je les ai fait rêver l’espace d’une danse. Une valse, un quadrille…. Les uns après les autres, je suis passée de main en main, de visage en visage. Mais comme chaque soir, chaque jour qui passe, aucun d’entre eux n’a réussi à toucher mon âme. Aucun. Ils manquent tous de… spontanéité, je crois. Je me moque bien de ces gentilshommes aux talons hauts qui se donnent de grands airs mais n’ont aucunement d’esprit. Lasse de m’attendre, Cain m’a alors imposé de ne plus danser qu’avec lui, au cours de la dernière heure. Ultime sacrifice d’une nuit trop remplie. Cain est un ami d’enfance. Je l’ai connu à l’âge de 8 ans, sa famille a acheté le domaine voisin au nôtre. Heureusement, il a vite compris que j’avais besoin de prendre l’air et nous nous sommes écartés des valseurs pour rejoindre les jardins. Comme à son habitude il m’a embêté quelques instants, me demandant si j’avais trouvé un galant homme puis, devant ma mine faussement en colère il passa à autre chose. Ensuite, tout est passé très vite, je ne sais plus très bien comment mais cela s’est passé. En une fraction de seconde, Cain força la barrière de mes lèvres et par la même occasion celle de notre amitié. Sur le coup, je me suis brusquement sentie observée par les yeux stupéfaits des enfants que nous avions été. Doucement, je me suis écartée de lui et l’ai emmené précipitamment à l’ombre des grands chênes pour éviter que quiconque nous aperçoive. Etonnement je n’étais pas fâchée, ni même dégoûtée, ce geste m’avait surprise… mais je suis forcée de l’admettre, ce baiser ne m’avait pas déplut. Je me sentais affreusement confuse d'avoir une telle pensée et, j’aurais voulu qu’il m’embrasse de nouveau pour me prouver le contraire. Je n’aimerais certainement pas, non. En réalité, j’ai été prise de court et je n’ai même pas eu le temps d’éprouver du dégoût. Si il renouvelait son geste, je le réprimerais violemment, aucun doute possible là dessus. Mais il n’en fit rien, il se contenta de planter ses yeux dans les miens, quelques secondes puis de tourner les talons.

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