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| Dear Darling ... {PV Melena} | |
| | Auteur | Message |
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Edward Dashwood « Little drop of POison »
Nombre de messages : 143 Age : 33 localisation : Derrière toi âge rp : 17 ans sortilège — potion fétiche : Legilimens - pénétrer l'esprit des gens race : — humain(e) animal de compagnie : Une chatte albinos complètement fêlée du bocal, mais à laquelle il tient comme à la prunelle de ses yeux. photo d\'identité : petit message : Serpentard accompli, attrappeur de l'équipe de Quidditch et parle fourchelang couramment... What else? Date d'inscription : 15/06/2009
veritaserum maison*: — slytherin année*: — septième relationship's*:
| Sujet: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 21 Juin - 2:20 | |
| - Spoiler:
Fuaaaaaah, j'suis crevée xD Bon j'ai rien fais pour annoncer ton arrivée pour te laisser totalement libre ^^ Bisous (L) en espérant que ça te plaise ;D La salle commune des Serpentards… Une salle ressemblant plus à une cave, basse de plafond et située précisément sous le lac, d’où peut-être cet aspect assez lugubre. À l’intérieur, des fauteuils verts, quelques tables et autres tapisseries du même ordre. Edward n’aimait pas cette pièce, elle avait quelque chose d’agressif qui ne lui convenait pas. À croire qu’elle était là pour former des clans. Dans chaque coin de mur, on parlait, on riait ou on se battait même parfois, mais rares étaient les ambiances chaleureuses entre vipères… Mais alors que dire des dortoirs ?? Une forme circulaire, cinq élèves par chambre. Lui qui avait toujours été un solitaire… Des murs de pierre épaisse, un sol de pavés, des lits à baldaquin pourvu de rideau de velours verts… Des tables de nuit avec une cruche d’eau, quelques coffres à valises… Et une armoire pour chacun. C’est dans ce dortoir que le dandy se trouvait actuellement, plongé dans ses draps il dormait d’un sommeil agité… Il se retourna plusieurs fois en gémissant, la tête dans l’oreiller, puis se retourna encore en frémissant cette fois. Ses mains longeaient les couvertures entre ses doigts fins en un sifflement léger et il gémit encore. De quoi pouvait-il bien rêver pour s’énerver ainsi ? Personne ne savait ce qui pouvait ainsi perturbé le jeune homme… Personne ne le savait et tout le monde s’en moquait à vrai dire, et Edward le premier. En effet, il ne se souvenait jamais de quoi il avait bien pus cauchemarder la veille et ne cherchait pas à le savoir. Un nom cependant raisonna dans la haute pièce : Dashwood. Pourquoi répétait-il ce nom sans arrêt ? Ce nom qui était le sien. Parce qu’il les haïssait tout simplement. Il détestait son père, sa mère, toute sa famille… Il ne voulait plus être enfermé ici, il refusait de se livrer à leurs caprices. Piégé entre leurs filets, il subissait néanmoins les crises de sa mère et les colères de son père. Ses lèvres s’entrouvrir une nouvelle fois mais cette fois, aucun son n’en sortit… Ce furent ses paupières qui s’ouvrir. Il faisait froid… En cette nuit de Novembre, l’hiver approchait à pas de géants, et déjà du verglas apparaissait sur les sentiers, et du gel sur les carreaux des fenêtres. Mais ici… Ici il n’y avait pas de fenêtre. Nous nous trouvons dans les sous-sols, à l’emplacement des vert et argent. Se redressant sur ses coudes, Edward attendit que ses yeux ne s’habituent à l’obscurité pour quitter son lit. Il enfila un jean et un simple pull puis fit en sorte de ne pas réveiller les autres en refermant la lourde porte en bois. Là, il commença par raviver le petit feu qui vivait encore dans la cheminée puis se laissa choir à l’intérieur d’un fauteuil, visiblement épuisé. Tendant la main en un dernier effort, il alluma la petite lampe à sa droite puis son regard fut attiré par la présence d’un journal en face de lui. Levant les yeux vers le plafond et soupirant à l’idée de se relever, il le fit quand même puis se rassit, l’objet dans les mains. Dépliant celui-ci, il commença à vaguement lire les nouvelles lorsqu’un second soupire brisa le silence de la grande salle… Pourquoi pensait-il à elle ? À qui ? Mais à Melena bien sûr ! Cette fille qu’il avait royalement humilié en la mettant face à ses désirs. Cette donzelle qui avait cru malin de se mesurer à la pire ordure masculine en ces lieux. J’exagère… Sans doute y avait-il pire encore… Mais qu’importe. Ses pensées avaient effectivement divagué vers elle, automatiquement, sans qu’il n’eut besoin d’une madeleine de Proust dans le coin. Pourtant… Elle n’avait rien d’exceptionnel. Non, sinon qu’elle aimait trop le sexe pour plaire à notre Don juan, trop attaché à son travail pour se débaucher à ce point. Elle était… Vilaine, venimeuse aussi… En vérité, elle lui faisait presque peur. Bien sûr, il se savait capable de la battre en duel ou même en bras de fer s’il le fallait… Mais ce n’était pas ça qu’il craignait, mais plutôt sa façon de lorgner sur les vampires. Elle était aussi très connue pour ça, à toujours gambader en compagnie de ces sangsues ! Pourquoi n’acceptait-elle pas sa condition d’humaine ? C’était pourtant mille fois mieux ! Dormir, manger, rêver, souffrir… Toutes ces choses qui peuvent paraître futiles… Mais néanmoins indispensables. Edward secoua la tête dans l’espoir d’éliminer toutes ces questions qui ne le regardaient pas. Après tout, elle faisait ce qu’elle voulait, il ne voyait pas tellement en quoi cela le concernait. N’empêche… Que faisait-elle en ce moment même ? Dormait-elle ? Évidemment ! Quelle question ! Il était presque deux heures du matin, tous les élèves pionçaient à part lui, misérable insomniaque du dimanche ! Esquissant un sourire moqueur, le 7ème année se félicita de sa propre bêtise. Il avait l’art de se demander des choses dénuées de sens parfois… En attendant, il devait se concentrer sur sa lecture s’il voulait retrouver le marchand de sable avant la fin de la nuit… Ainsi, il se remit à lire les quelques lignes dactylographiées qui se présentaient à lui bien que son attention soit déviée par les photos mouvantes du ministère. Toujours assit dans son fauteuil, il bailla, s’étira les bras et laissa sa tête reposer contre le dossier, sur le point de repartir à nouveau dans un profond sommeil… | |
| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
Nombre de messages : 464 Age : 32 âge rp : On ne demande point son âge à une damoiselle. Mais j'ai dix sept ans. sortilège — potion fétiche : Flambios - Felix Felicis race : — humain(e) animal de compagnie : Euh...Un fantôme c'est un animal de compagnie? Parce qu'il me suit comme un chien! *SBAF* photo d\'identité : petit message : . Date d'inscription : 02/05/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 21 Juin - 15:32 | |
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- Spoiler:
Merci d'avoir commencé! =) N'hésite pas à me dire si tu manques d'inspiration, si j'en ai aps fais assez, etc.
Les vents hivernaux se perdaient dans mes cheveux. Nous étions en novembre, début novembre, et pourtant il faisait aussi froid qu'en fin décembre. Heureusement, j'avais pensé à passer une veste en fausse fourrure lorsque m'était venue l'idée saugrenue de sortir en pleine nuit dans le parc. J'avais besoin d'air frais, je voulais respirer loin de l'ambiance désagréable régnant dans la salle commune. Maintenant que les clans s'étaient établis, les échanges d'insultes, de regards noirs, de menaces et même parfois de sortilèges, étaient très fréquent. Ça me plaisait, de ridiculiser ces andouilles du MLP, mais parfois, lors des moments importants, il fallait du calme et de la fraîcheur pour réfléchir… Je serrais le bout de parchemin soigneusement plié en deux dans ma main. J'avais attendu cela tellement longtemps…Et maintenant que l'heure est venue, je sentais comme une angoisse me nouer le ventre. Etais-ce vraiment la bonne solution? Oui, bien sur que ça l'était…Depuis que je les avais vu, à mon arrivée en première année, je savais que c'était la meilleure des solutions…Et celle qui me serait le plus profitable. Il n'empêche que le mot que m'avait fait remettre Ailyn via Nagini en sachant que j'irais dans sa chambre lui emprunter un livre de sortilèges puisque j'avais prête le mien à Sevan qui était introuvable –sûrement dans l'un ou l'autre dortoir à se taper une fille. Lorsque j'étais entrée dans la chambre, j'avais vu le serpent ramper au sol dans ma direction, un morceau de parchemin délicatement attaché autour de son cou reptilien. Mon nom était lisiblement écrit dessus, ainsi je libérais l'animal et effleurais sa tête du bout de l'index. J'aimais les serpents…C'était beau, sensuel, dangereux…Un animal vraiment épatant. J'avais déplié le parchemin sur lequel s'étalait la belle écriture penchée d'Ailyn: « La fin approche à grand pas. Lorsque je rentrerais de ma chasse ce soir, tu pourras enfin devenir ce que tu désires…Attend moi vers quatre heures du matin. » Elle avait signé et s'en était allée. Lorsque j'avais regardé la pendule, j'avais vu une heure du matin. Il restait trois heures…Trois heures à occuper…J'avais pensé faire mon devoir de sortilège, mais je ne pourrais jamais me concentrer suffisamment pour cela. Alors à la place, j'avais attrapé mon manteau et, toujours en uniforme, j'étais sortie dans le parc respirer l'air frais. Je voulais ne penser à rien, mais je ne pouvais m'empêcher de m'imaginer les yeux rouges, la peau pâle, d'une beauté sublime et intemporelle…J'essayais d'imaginer la brûlure que provoquerait le désir du sang, ma force décuplée, ma vitesse également…J'avais l'impression d'être depuis toujours destinée à ce destin. Sinon j'aurais été une proie parmi tant d'autre…Il y a sept ans, elle m'avait déjà vue vampire dans l'une de ses visions. Cela voulait tout dire. Il y a sept ans déjà, mon destin s'était orienté sur le chemin de l'immortalité. Sept ans…Ça fait si longtemps! Mais j'ai l'impression que c'était hier…Oui, hier… Je m'assis contre un arbre, rapprochais mes genoux de mon corps et les entourait de mes bras avant d'y poser ma tête. Je regardais le lac, l'éclat de la lune s'y reflétant…Et cet éclat me renvoya à un visage. Je crus d'abord qu'il s'agissait de Sevan, ce qui signifiait sans doute que j'avais envie de sexe, mais je constatais avec dégoût que c'était celui d'Edward Dashwood. Je secouais la tête pour essayer de m'en débarrasser, mais l'éclat de la lune me l'évoquait, allez savoir pourquoi… -Je ne suis pas ta fille, va tourmenter quelqu'un d'autre, idiote de lune.Voilà que je parlais à un astre à présent…C'est grave docteur? Non. Ce qui est grave par contre, c'est de penser à ce type…A part me donner un orgasme, il n'avait pas fait grand chose d'autre. Oh si bien sur il m'avait humiliée, vexée, blessée…Mais c'est tellement accessoire ce genre de choses. Je m'en fichais éperdument. A côté de ce qui m'arriverait ce soir, c'était futile…Bientôt je pourrais le tuer d'une simple pression, d'une pichenette…Bientôt, je n'aurais besoin d'aucun sortilège pour l'immobiliser…Et pervers comme il est, j'étais prête à parier qu'il adorerait les morsures de vampire. Je me plaisais à l'imaginer à mes pieds… Je savais que l'heure tournait…Et dans ma tête, il était déjà presque quatre heure du matin. Ainsi, je retournais au château avant de m'apercevoir qu'il n'était que deux heures…Entre deux autres à attendre. Bah, je les attendrais en salle commune. A cette heure-ci, on n'y croisait personne, comme nul part dans le château, hormis des vampires en chasse. Et c'est justement la raison qui rendait Poudlard désert dans la nuit…La peur d'une morsure, la peur de la mort. Je descendis les escaliers menant au sous-sol. J'aimais ce sous-sol, il évoquait une salle de torture moyenâgeuse. Il y avait quelques chaînes rouillées pendant au plafond et sur les murs. Ailyn m'avait dis un jour qu'on sentait toujours un peu de sang séché dessus. Vestige des vieilles méthodes de punition d'autrefois…Je lui enviais cet odorat. On devait tellement mieux profiter du monde en pouvant sentir chacune de ses saveurs…Entendre chacun de ses murmures…Voir le moindre petit détail…Finalement, l'angoisse se transforma en impatience. J'étais prête à souffrir, à sentir mon corps brûler, mourir, puis mes yeux s'ouvrir sur un monde emplit de sensations nouvelles… J'étais face à la salle commune des Serpentard, gardée par un serpent de pierre qui attendait le mot de passe. -Plume à papoteLa sculpture pivota et le passage s'ouvrit. La salle commune était assez sombre mais, inconsciemment, je me dirigeais sans trop de problème. J'allais monter dans le dortoir d'Ailyn pour l'attendre lorsque je sentis une présence. Il y avait quelqu'un qui ne dormait pas ou que le mouvement de la statue avait réveillé. Je lançais un flambios informulé sur les quelques torches présentes dans la salle, éclairant celle-ci d'une lumière. Tamisée certes, mais assez lumineuse pour me permettre de distinguer le visage de l'insomniaque. -Toi…Ce n'était pas vraiment une expression choquée qui se lisait sur mon visage, mais plutôt…En fait, je ne saurais le décrire. C'était un mélange de beaucoup de choses car je ne savais pas bien comment réagir face à lui. J'avais des dizaines de plans sadiques en tête, mais pour la première fois depuis longtemps, j'étais incapable de bouger le petit doigt pour les accomplir. Je fixais quelques secondes l'héritier Dashwood dans les yeux avant de parcourir les trois pas qui nous séparaient et de le gifler, sans autre forme de procès, ne sachant quoi dire de plus.
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 21 Juin - 16:32 | |
| - Spoiler:
La prochaine fois, essaye d'avancer un peu plus quand même xD
Des morsures de vampire ? Edward était connaisseur… Pour avoir déjà été la proie de plusieurs vampires dans cette école. Il faut dire que monsieur jouait beaucoup avec le feu… Ce qui lui valait deux jolies cicatrice de morsure à la base du cou, de chaque côté. L’une datait d’il y a 3 ans et n’était plus vraiment visible. L’autre – à l’inverse – était bien plus récente… Quelques jours seulement, ou quelques semaines.. Enfin toujours est-il que notre dandy n’était pas quelqu’un de particulièrement prudent… Il aimait la sensation qu’infligeait une morsure. Cette douleur aiguë suivit d’une perte totale du contrôle. On se sent plus vivant que jamais avant de s’éteindre en un demi coma dangereux… Non pas qu’il soit une sorte de masochiste refoulé, au contraire ! Edward se refusait à pratiquer ce genre de jeux douloureux. Mais ces morsures n’étaient pas douloureuses… D’où cette ambiguïté. De plus, il connaissait les risques sociaux que cette découverte pouvait entraîner. Beaucoup d’individus ici n’aimaient pas les créatures qui avaient intégrés l’école, les jugeant… Dangereux, irresponsables. Hier encore, après son entraînement de quidditch, notre Serpentard avait rejoint les vestiaires pour s’y déshabiller et prendre sa douche en même temps que ses camarades. L’un d’eux, qui s’amusait à à vouloir savonner les têtes de ses compagnons, s’approcha d’un peu trop près d’Edward et ne manqua pas de remarquer cette toute nouvelle cicatrice. Il s’était immédiatement arrêté de rire et avait dévisagé le Don Juan avec sévérité. Ce dernier, n’en ayant que faire de ces ragots n’avaient fait qu’ignorer son comportement soudain et avait n’avait pas cesser sa douche pour autant. Mais c’était bien la preuve qu’il y a des choses qu’il vaut mieux garder pour soi… Confortablement affalé sur son fauteuil, le 7ème année laissait la fatiguer s’emparer de tout son être. Réduit en l’état de pure loque, il flânait tout simplement, près à s’assoupir à nouveau. Que pouvait-il bien faire d’autre de toute manière ? Rejoindre son lit ? Sûr, cela aurait été une idée fort judicieuse, néanmoins, la flemmardise est un défaut difficilement vaincu. Ses paupières devenaient lourdes, et dans sa tête raisonnait le ronflement d’une chouette à côté de lui. Le crépitement léger du feu, quant à lui, ne faisait qu’alourdir ce bercement intense. Un curieux mélange de sons s’immisça dans la pièce… C’est fout quand on y pense, mais c’est rigoureusement impossible de vivre dans un silence complet. Il existe toujours un bruit pour vous divertir. Ne prêtant guère plus attention à cette remarque sans réelle importance, l’anglophone fit reposer sa tête dans le creux de sa main elle-même supportait par son coude logé sur une branche du fauteuil. Quel ennui… Pourquoi ne se passait-il jamais rien d’intéressant ici ? N’y avait-il personne pour sauter d’une fenêtre en lançant un dernier cris déchirant ? Aucun fantôme pour effrayer des Serdaigles ? Aucune potion susceptible de faire exploser la cabane d’Hagrid ? Edward Fit craquer ses chevilles lorsqu’un poids plume se déposa sur ses genoux. Clochette… Son chat albinos et complètement fou. Décidemment, il n’y avait qu’elle pour intervenir dans un moment pareil. Visiblement dérangé, Edward lui fit d’abord signe de déguerpir mais, voyant qu’elle insistait, finit par l’accepter. Quel bel animal que cette petite Clochette… Elle avait beau être vieille et timbrée, elle gardait un poil épais et d’un blanc immaculé, une queue bien touffue et des yeux d’un rouge déconcertant. Sa présence rassurait son maître qui profita de la chaleur qu’elle lui apportait en cet instant d’osmose… Lorsqu’un bruit grinçant les fit sursauter tous les deux. La porte venait de s’ouvrir, Le Baron sanglant venait d’ouvrir son cœur à une personnalité forcément répertoriée dans son grimoire. Une personne qui connaissait le code et qui était elle aussi, or de son lit en cette heure. Lui qui pensait être seul à ne pas fermer l’œil… À moins qu’il ne s’agisse d’un vampire rentrant de sa chasse nocturne. Dans tous les cas, Edward n’avait guère l’intention de bouger ses fesses >.< Clochette avait sortit les griffes, chose que le dandy ne comprit pas. Pourquoi se montrait-elle si agressive ? Y’avait-il un rapport avec l’intrus ? Il tenta d’abord de la calmer, la gratifiant de plusieurs caresses sur le haut du crâne… « Chut… On rentre les griffes boule de poil, qui veux-tu que ce soit ? un troll ? » Il rit doucement jusqu’à être interrompu par un murmure familier… Trop peut-être. « Toi… » Écarquillant grand les yeux, l’héritier Dashwood se sentit se liquéfier sur place et Clochette commença même à cracher bizarrement envers la demoiselle qui venait de prononcer ces modestes mots. Melena… C’était elle la « créature nocturne » alors ? « L’intrus » qui rejoignait sa salle à 2 heures du matin comme si de rien n’était. Edward avait toujours pensé cette fille étrange… Elle venait de le confirmer elle-même. Il tourna son visage blanc comme neige en face de celui de la belle et plissa ses yeux quelques secondes avant de se recevoir une gifle magistrale qui raisonna dans toute la pièce. Il n’avait pas bougé… Pas formuler la moindre plainte ou le moindre gémissement de douleur. Stoïque, il porta sa main à sa joue endolorie, lentement… Sans rien ajouter de plus. Clochette quant à elle, fut beaucoup moins compréhensive puisqu’elle se jeta sur la figure de Melena en un miaulement peu rassurant et eut le temps de lui infliger une griffure magistrale sur la joue avant que son maître ne l’empoigne par la croupe et ne l’envoie balader plus loin. Il ne s’attarda pas sur le sort de l’animal et arbora un air sévère : « C’est bon ? T’es soulagée ? Tsss… Le pire dans tout ça, c’est que tu te prends vraiment pour une sale victime. » Siffla-t-il entre ses dents comme un serpent crachant son venin à la gueule de sa proie. Il fit volte face et se mordit la lèvre inférieure, à la recherche de du journal qu’il avait reposer afin de l’emporter dans son dortoir et d’y séjourner en toute tranquillité. « Tire-toi maintenant, j’ai autre chose à faire que de m’amuser avec toi… Tout le monde n’a pas une vie qui se limite à la luxure… » | |
| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 21 Juin - 17:05 | |
| J'avais perdu mon sens des répliques sanglantes une fois face à lui. La seule petite parole que j'avais pu prononcer était un pitoyable « Toi… » avant de me laisser dominer par mon ego blessé et de lui coller une gifle magistrale. Je ne savais vraiment pas quoi faire d'autre. Lorsque j'avais imaginé ce moment dans ma tête, j'étais déjà vampire et je l'envoyais valser à l'autre bout de la pièce, s'écraser contre un mur, s'éclater le crâne et saigner par litre. Je voyais ça beaucoup plus douloureux qu'une simple gifle comme en collerait une prostituée à un client un peu trop goujat. Suite à ça, c'est à moi, que j'aurais voulu coller une gifle.
C'est la que cette saloprie de chat me sauta à la figure, me griffant à la joue. Je m'apprêtais à l'envoyer contre un mur, mais Edward fut plus rapide que moi et repris possession de son animal. J'avais appris à détester ce chat. C'était de sa faute ce qui était arrivé dans les toilettes. De sa faute si j'étais si troublée à chaque fois que je croisais son regard, de sa faute si mes pensées vagabondaient vers lui. Sale bête! Je voyais déjà l'animal faire une chute accidentelle du haut de la tour d'astronomie tient…Ou se noyer dans les toilettes!
« C’est bon ? T’es soulagée ? Tsss… Le pire dans tout ça, c’est que tu te prends vraiment pour une sale victime. »
Non, je n'étais pas vraiment soulagée. Pas du tout même…C'était un geste stupide digne d'une gamine offensée, mais c'était toujours mieux que de rester muette devant lui, figée telle une statue de marbre. Il ne semblait même pas désireux de riposter, de dire ou faire quelque chose, rien. Perdais-je vraiment tous mes atouts? Non, non bien sur que non…Sevan m'avait encore prise hier soir, pendant la moitié de la nuit. Si je ne valais plus rien, il n'aurait pas agis ainsi. Non, c'était ce type, ce noble pourris jusqu'à la moelle, qui avait un sérieux problème au cerveau ou même ailleurs.
Il me tourna le dos, ce que je pris plutôt mal. De quel droit? Il avait honte de me regarder ou quoi? Au fond il savait que j'avais aimé ce qui était arrivé, adoré même. La seule chose qui m'avait poussé à lui coller une gifle, c'était mon ego, juste pour « faire genre » comme on dit. Je ne me posais pas en victime. Il n'y avait pas de victime, puisqu'il n'y avait pas eu de crime.
« Tire-toi maintenant, j’ai autre chose à faire que de m’amuser avec toi… Tout le monde n’a pas une vie qui se limite à la luxure… »
Certes non, je n'en doutais pas une seconde. Et ma vie ne se limitait pas uniquement à cela. Il ne me connaissait pas, il ne savait pas ce que j'étais, qui j'étais…Il se basait sur des rumeurs pour me juger! Alors qu'il devait savoir que les rumeurs racontaient souvent de grossiers mensonges…Bien sur qu'il le savait. Mais il était trop bête pour appliquer cela à quelqu'un d'autre que lui même. Alors j'allais essayer de lui faire comprendre.
Je me mis face à lui, plantant mon regard dans le sien, déterminée à mettre les points sur les i.
-Pour ta gouverne, pour avoir une victime il faut un crime et désolée de casser ta petite fierté mais il n'y a pas eu de crime dans ces toilettes!
Enfin si, sans doute il y a de nombreuses années, peut être des siècles, vu l'énergie que l'endroit dégageait, il avait du être le théâtre de nombreux crimes en tout genre. De nombreux cœurs piétinés, de nombreuses âmes brisées, de nombreuses vies volées…Sûrement au point de pouvoir écrire un livre. J'imaginais bien le titre: « La véritable histoire des Toilettes Hantées du deuxième étage à Poudlard. ». Mais je m'éloigne un tantinet du sujet la…
-Alors arrête de te penser supérieur à moi. Tu me prends pour une pute? Parfait, à ta guise je n'en ai strictement RIEN à faire! Ça me tue, tu es vraiment comme n'importe quel autre homme, tu crois tout savoir alors qu'en fait tu ne sais rien. C'est idiot et naïf de se fier aux apparences! Tu es vraiment le stéréotype du noble au sang pur, mais pour ta gouverne, mon sang est aussi pur que le tiens, simplement j'ai choisis de faire marcher mon cerveau MOI! Crétin.
Je m'emportais, c'était stupide. Il n'était sûrement pas assez intelligent pour comprendre ce que je venais de dire. Il avait beau avoir des notes brillantes, ce n'est pas la seule intelligence qui compte dans ce putain de monde. C'est même la moindre. Avec un comportement de ce genre, il allait finir marié à une fille bien qui ne coucherait que pour procréer et qui, en bonne coincée, ne supporterait pas la perversion de monsieur qui devrait se taper des catins pour assouvir ses désirs. Ah ah, je rirais bien à ce moment la! Moi je serais vampire, lui vieillirait, prendrait de l'âge…Il finirait vieux, fripé, et moi je garderais cette apparence, je resterais dans la fleur de l'âge. Sans trop savoir pourquoi, je soupirais puis lui tournais le dos, comme pour monter dans mon dortoir.
-Ça ne sert à rien de parler avec toi, c'est comme parler à un mur. Je te laisse vaquer à tes occupations qui doivent être d'un passionnant extrême vu que tu étais endormis il y a quelques minutes! Désolée d'avoir salis ta soirée de ma présence!
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 21 Juin - 17:56 | |
| « Pour ta gouverne, pour avoir une victime il faut un crime et désolée de casser ta petite fierté mais il n'y a pas eu de crime dans ces toilettes! »
Elle s’était placée face à lui, comme si elle souhaitait capter toute son attention… Mais ce qu’elle ignorait, c’est qu’elle l’avait déjà. Pas pour l’avoir giflé, bien qu’il en garde un goût de sang amer dans la bouche, mais par sa simple présence… C’était plus fort que lui, pourtant Edward n’admirait en rien cette demoiselle. Il la trouvait pitoyable et pis encore… Elle ne lui inspirait rien d’autre que du dégoût… Mais si toutes ces sensations n’étaient qu’illusions ? Si, au contraire, il se cachait la vérité par l’intermédiaire de son inconscient ? Le cerveau humain n’était qu’un iceberg dont seule une minuscule partie apparaissait à la surface. Le reste est submergé par l’eau et nous reste inatteignable. La vérité c’est que chaque fois qu’elle lui lançait un pic, il ressentait une vive douleur au niveau de la poitrine, parfois à lui en couper le souffle. Il se complaisait dans le fait qu’elle le haïsse, c’était une bonne chose, elle devait continuer. Pas une de crime dans ces toilettes ? Alors elle admettait que cela n’avait pas été désagréable ? Ou seulement qu’elle l’avait bien cherché ? Les deux peut-être… Le dandy fit mine de se ficher complètement de ces états d’âme, comme si ces souvenirs ne signifiaient absolument rien à ses yeux. Que pouvait)il y avoir de plus blessant ? Ignorer ce qui tient à cœur à un tiers ? Se moquer de ce qui torture son interlocutrice. Elle semblait obsédée par leur dernier échange, mais obsédée dans le sens où elle ne réclamait, ni réparation… Et ni récidive. Que cherchait-elle alors ? Donner une simple morale à notre bourreau des cœurs qui – avouons-le – préférait être sourd que d’entendre cela, Inutile, elle gaspillait sa salive pour rien, autant qu’elle la conserve pour la partager avec un autre clampin répondant à ses avances grossières…
« Alors arrête de te penser supérieur à moi. Tu me prends pour une pute? Parfait, à ta guise je n'en ai strictement RIEN à faire! Ça me tue, tu es vraiment comme n'importe quel autre homme, tu crois tout savoir alors qu'en fait tu ne sais rien. C'est idiot et naïf de se fier aux apparences! Tu es vraiment le stéréotype du noble au sang pur, mais pour ta gouverne, mon sang est aussi pur que le tiens, simplement j'ai choisi de faire marcher mon cerveau MOI! Crétin. »
C’en était trop ! Ne pouvait-elle pas formuler UNE SEULE phrase sans l’insulter en dernier recours ?! Non ? c’était trop difficile pour le misérable petit pois qui lui servait de cervelle ?? Supérieur ? Une pute ? Elle ne comprenait décidément rien à rien, et plusieurs fissures apparurent sur le cœur du Don juan qui leva son visage vers le plafond, évitant ainsi celui de la belle. Les poings crispés il réussissait néanmoins à conserver une apparence calme, des traits détendus et d’une beauté rare.
« Ça ne sert à rien de parler avec toi, c'est comme parler à un mur. Je te laisse vaquer à tes occupations qui doivent être d'un passionnant extrême vu que tu étais endormis il y a quelques minutes! Désolée d’avoir sali ta soirée de ma présence! »
Et elle persévérait dans son répugnant pamphlet… Quelle arrogance ! Mais hélas aucune noblesse. Edward sentit son parfum se déplacer dans les airs, lui informant du mouvement de Melena qui avait tourné le dos, dans le but - sans doute - de rejoindre son propre dortoir… Elle n’allait pas s’en tirer à si petite dote. Le front plissé par l’incompréhension, la voix grave du jeune homme résonna dans la pièce bien que cela ressemble plus à un murmure qu’à une attaque :
« C’est drôle… Comme tes revendications pourraient aussi bien être sortie de ma bouche. »
Il croisa les bras contre sa poitrine en recouvrant ses mains blanches de son pull. Dans l’ombre éternelle de la pièce, il était difficile de s’en apercevoir, mais il souriait… Un sourire léger, très peu étiré et donc quasiment imperceptible. Tout comme il était impossible de se rendre compte que ses yeux brillaient comme des perles humides. Son nez le piquait affreusement, l’avertissant de la montée imminente de ses larmes. Pourquoi pleurait-il ? Pour ça ? c’est tout ?? Non… C’était tout un engrenage complexe qui en avait décidé ainsi. Ce genre d’insultes, Edward en avait entendu toute sa vie, par son père, par sa mère, par ses ancêtres, ses camarades, parfois même… Ses professeurs. Sauf qu’à cette époque, il n’était pas seul comme aujourd-hui. Svetlana, sa meilleure amie, n’était plus qu’une ombre qu’il ne reconnaissait plus. Quant à sa noble famille, cela faisait longtemps qu’elle ne le considérait comme rien d’autre qu’un petit soldat magicien.
Il recula de quelques pas et son self-control impardonnable lui permit de ravaler ses larmes du même coup que sa profonde rancœur. De toute façon, cela faisait bien longtemps qu’il était aigri, il n’y avait plus aucune raison que cela change… Néanmoins il reprit, d’une voix plus claire mais toujours aussi souple et basse :
« Dès l’instant où tu m’as vu, tu as voulu coucher avec moi. Sans me demander mon avis, sans te réoccuper de ce que je pouvais ressentir moi. Qui est la pute dans l’histoire ? Qui se fie à cette légende de « chaud lapin » qui coure sur moi ? Si tu t’étais montrée plus clairvoyante que les autres, tu aurais su que tout cela n’est qu’un tissu de mensonges. Je n’baise pas avec les filles comme je marque des points en Quidditch. J’ai plus de respect que ça aussi bien pour elles que pour moi. »
Un léger rire raisonna dans la pièce.
« Pourtant il n’en a pas toujours été ainsi. Et je crois… Que je préférais lorsque je vous dégoûtais toutes avec mes 30 kilos de trop. Cette époque où on me surnommait « le boulet », « la citrouille gazeuse » ou encore « le troll obèse » n’était en fait pas si mal. »
Il se tue, de toute façon, il n’avait guère l’intention d’en dire plus ; ce n’était pas particulièrement son genre de dévoiler sa vie comme ça, sachant pertinemment d’une part que ça n’intéressait personne et d’autre part que ça le gênait plus qu’autre chose. Attrapant Clochette qui s’était mise à tournoyer entre ses jambes, il la ramena à son torse et la cajola :
« Tu as eu ce que tu voulais l’autre jour, alors ne me blâme pas d’avoir répondu à tes attentes sans transgresser les miennes. »
S’approchant de Melena, silencieux, il murmura à nouveau…
« Sauf si tu as autre chose à me reprocher…»
Il s’attendait au pire, mais tant qu’on en était là, autant allez jusqu’au bout non ?
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| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
Nombre de messages : 464 Age : 32 âge rp : On ne demande point son âge à une damoiselle. Mais j'ai dix sept ans. sortilège — potion fétiche : Flambios - Felix Felicis race : — humain(e) animal de compagnie : Euh...Un fantôme c'est un animal de compagnie? Parce qu'il me suit comme un chien! *SBAF* photo d\'identité : petit message : . Date d'inscription : 02/05/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 21 Juin - 19:06 | |
| - Spoiler:
Désolée je n'ai aps dis beaucoup, mais je ne voulais pas te bloquer dans tes futures actions =S
Je venais de lui tourner le dos, résignée. Résignée à quoi? Je ne savais pas vraiment…Résignée au fait qu'il était un idiot prétentieux? Résignée à ne jamais rien obtenir de lui? Résignée…Résignée à quoi?! Ce n'était rien de tout ça, ou alors un mélange, avec d'autres choses…Par mes paroles, je voulais son attention, je voulais le forcer à admettre mon existence, à ne pas m'ignorer. Même si pour lui j'étais une pute, j'étais au moins quelque chose. Je ne savais pas pourquoi ça me tenait tellement à cœur, je ne voulais pas le savoir…Je savais que ça me ferait souffrir, que j'allais redevenir la petite fille fragile d'il y a sept ans si je savais…Si je savais… Il valait donc mieux que je m'en aille. J'avais tourné les talons, lorsque sa voix m'arrêta: « C’est drôle… Comme tes revendications pourraient aussi bien être sortie de ma bouche. » Je me stoppais nette, continuant d'abord à lui tourner le dos. Il avait raison…Je m'étais comportée comme d'habitude, car c'est le comportement que l'on adopte pour charmer les garçons. On leurs fait comprendre qu'on veut coucher, les satisfaire, ils s'attachent puis on les abandonne comme on abandonnerait un chien sur le bas côté de la route. Ça avait toujours été comme ça, je n'avais pas pu me comporter autrement, je les détestais trop…Tous. Je faisais d'un cas une généralité, un homme m'avait fait détester quasiment tous les autres, parce qu'il m'avait persécuté, volé mon enfance à tout jamais…Un jour il le paierait, un jour il mourrait. En attendant, je le faisais souffrir par mon comportement, il souffrait de voir le nom de sa noble famille se ternir… « Dès l’instant où tu m’as vu, tu as voulu coucher avec moi. Sans me demander mon avis, sans te réoccuper de ce que je pouvais ressentir moi. Qui est la pute dans l’histoire ? Qui se fie à cette légende de « chaud lapin » qui coure sur moi ? Si tu t’étais montrée plus clairvoyante que les autres, tu aurais su que tout cela n’est qu’un tissu de mensonges. Je n’baise pas avec les filles comme je marque des points en Quidditch. J’ai plus de respect que ça aussi bien pour elles que pour moi. » Et pourquoi aurais-je du me soucier de ce qu'il voulait? A mes yeux, avant tous les évènements qui s'étaient déroulés, il était un type comme les autres! Certes plus attirant par le mystère qui l'entourait, par sa beauté peu commune, par ses yeux dont l'éclat me rappelait la lune…Oui, il était mieux qu'un garçon banal mais je ne couchais pas avec n'importe quel garçon banal. Juste avec ceux qui me rappelait ce que je détestais, ou avec Sevan, ce qui était encore différent. Mais il avait raison sur un point: Je m'étais fiée aux rumeurs qui courraient sur lui. Ou plutôt, j'avais eu envie d'y croire pour me dire que le coup devait être bon à saisir, que je n'aurais pas de mal…Certaines rumeurs sont parfois fondées, d'autre non, et impossible de savoir la vérité avant d'avoir expérimenté. Ce que j'avais perçu comme une possible virginité, donc une timidité, était en fait du respect. Mouais…Vu l'épisode des toilettes, je demandais à voir où se trouvait exactement le respect. Néanmoins je ne connaissais pas ce genre de respect…Petite, on ne me respectait pas, sauf Anna, ma nourrice, mais elle, elle préférait fermer les yeux. J'avais été confinée, coupée du monde, j'avais été un instrument, un punching-ball, un objet sexuel, mais du vrai respect je n'en avais pas vraiment reçu…Pas d'un garçon en tout cas. « Pourtant il n’en a pas toujours été ainsi. Et je crois… Que je préférais lorsque je vous dégoûtais toutes avec mes 30 kilos de trop. Cette époque où on me surnommait « le boulet », « la citrouille gazeuse » ou encore « le troll obèse » n’était en fait pas si mal. » Je ne l'imaginais pas du genre à dévoiler son passé, tout comme je ne l'imaginais pas avec trente kilos supplémentaires. Je l'avais toujours imaginé être « parfait » de naissance. Mais il est vrai que personne n'est parfait, qu'aucun physique n'est parfait, ni aucun cœur, aucune âme…Etait-il déjà ainsi à son entrée à Poudlard ou avait-il fréquenté une école de moldu avant cela? Quoi que vu le style des surnoms, c'était sûrement des enfants sorciers qui les lui avait donné…J'ignorais ce qu'on pouvait ressentir lorsqu'on avait un surpoids, car j'avais toujours été fragile, parfois anorexique même si ce problème s'était réglé. D'ailleurs avant d'arriver à Poudlard, je ne pensais pas que ça existait vraiment, les gens gros…C'est naïf, un enfant coupé du monde. « Tu as eu ce que tu voulais l’autre jour, alors ne me blâme pas d’avoir répondu à tes attentes sans transgresser les miennes. » -Je t'ai déjà dis que je t'avais pas blâmé pour ça. Ecoute moi au moins quand je te parle, ou alors je ne suis pas assez bien pour être entendue dans la totalité de mes paroles?Où voyait-il un quelconque blâme? L'avais-je blâmer pour ça? Non…Pour beaucoup de choses, mais pas pour l'épisode des toilettes. Au contraire, ce fut même ma première phrase. Il n'y a pas de victimes puisqu'il n'y a pas eu de crime…Sans crime, rien à blâmer! M'écoutait-il vraiment? Je ne le savais pas, je m'en fichais…Tout ce qui m'intéressait, c'était de le voir se rapprocher. J'eus un léger frisson lorsqu'il murmura cette phrase. Rien d'érotique pourtant, mais le murmure en lui-même… « Sauf si tu as autre chose à me reprocher…» Je levais un peu la tête et croisais son regard. Des choses à lui reprocher? En dehors de tout ce que j'avais pu dire, pas vraiment…Je baissais les yeux et regardais ses lèvres. Des lèvres que j'avais déjà goûté…Je me rappelais de ce baiser que nous avions partagé –même s'il jouait la comédie- et je me surpris à en désirer un autre. J'approchais de ses lèvres et m'arrêtais juste avant de les effleurer. Je m'en écartais, toujours sans le regarder. Pourquoi m'étais-je stoppée? En temps normal, je ne me serais pas formalisée. Mais la, j'étais troublée par cette force invisible qui me poussait à l'embrasser. Ce n'était pas la même chose que d'habitude-Rien du tout, soufflais-je. Laisse tomber.Je m'éloignais alors un peu, ré-instaurant une distance d'un pas entre nous. Je prenais toujours soin de ne pas le regarder et rien de mieux pour cela que de lui tourner le dos. Je montais une marches de l'escaliers en colimaçons, lutant pour le moment avec succès contre la force inconnue qui me poussait à vouloir rester avec lui, l'embrasser avec son consentement…Je ne voulais pas de ce type, jamais. Jamais…Jamais… -Bonne soirée et euh…Bonne chance ce week end contre Serdaigle.Bonne chance ce week-end contre Serdaigle?! Mais quelle CONNE! Pff je n'avais vraiment rien de mieux à dire que ça? Je passais pour une débile…Stupide cerveau de m*! Tout ça pour quoi? Pour ce type…Ce type, Edward Dashwood, qui représentait à peu près tout ce que je détestais…Ou alors étais-ce moi qui le voyait ainsi exprès? Exprès, dans le but de me mentir à moi-même? Mh…Non, je ne glisserais pas sur ce terrain! Il était cadenassé à tout jamais.
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
Nombre de messages : 143 Age : 33 localisation : Derrière toi âge rp : 17 ans sortilège — potion fétiche : Legilimens - pénétrer l'esprit des gens race : — humain(e) animal de compagnie : Une chatte albinos complètement fêlée du bocal, mais à laquelle il tient comme à la prunelle de ses yeux. photo d\'identité : petit message : Serpentard accompli, attrappeur de l'équipe de Quidditch et parle fourchelang couramment... What else? Date d'inscription : 15/06/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 22 Juin - 1:08 | |
| - Spoiler:
c'est nul nul nul mais j'ai fais ce que je pouvais T_T
« Rien du tout. Laisse tomber. » Dans son regard… Il y avait des mots… Et des maux. Edward lisait en Melena comme dans un livre ouvert. En ce soir, uniquement… Mais peut-être étai-ce suffisant remarque. Leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques millimètres et chacun brûlait d’envie qu’elles se rejoignent enfin, sans se l’avouer pour autant. Que se passait-il exactement ? Comment deux êtres se haïssant ainsi profondément pouvaient êtres aussi subjugués l’un par l’autre ? Il y avait de la magie dans l’air. Non sans blague… n’étions-nous pas à la célébrissime école des sorciers ? Bienvenue à Poudlard ! Edward se retint lui aussi de tendre sa bouche jusqu’à effleurer celle de la belle, et ne put que ressentir une immense sensation de soulagement lorsque cette dernière se mit en tête de rejoindre définitivement son lit. Pourtant, un autre sentiment vint se joindre au premier : celui de la déception. Il n’avait pas envie de se retrouver à nouveau seul… Et il voulait qu’elle l’accompagne pour être franc. Seulement… Allez inviter quelqu’un qui vous déteste de tout son être à partager une soirée à vos côtés, vous risquez de vous prendre une belle claque dans la figure. Or sa gifle, le dandy l’avait déjà reçue et conservait une égratignure sur sa joue. En parlant d’égratignure, n’en avait-elle pas une elle aussi ? La blessure que lui avait faite son chat avant de filer. « Bonne soirée et euh…Bonne chance ce week-end contre Serdaigle » C’était on ne peut plus clair… Elle n’avait qu’une envie, c’était de rester ici, avec lui. Mais tout comme monsieur, Melena ne se l’expliquait pas et refusait même d’aborder ce sujet en compagnie de son fort intérieur. Une question s’imposa alors dans l’esprit du jeune homme qui la suivait de son regard d’acier : pourquoi réagissait-elle comme ça ? Qu’avait-elle vécue de si « traumatisant » pour refuser de se livrer de cette manière. Et puis, cette façon qu’elle avait de s’envoyer en l’air avec n’importe quel individu, dans le seul but de leur faire du mal… C’n’était pas très net tout cela, et le curieux Serpentard tenta de joindre le tout bout à bout à vitesse éclaire… Cette tendance nymphomane est ce que l’on appelle, un « trouble psychique » qui se traduit par une fréquence élevée et compulsive de rapports sexuels. Mais dans le cas de notre donzelle, c’était aussi afin que la gente masculine souffre… Ce qui reviendrait à dire qu’elle à souffert elle aussi, et à cause d’un homme. Cela peut évidemment remonter à de nombreuses années, et l’on dit que les troubles sexuels sont souvent signe d’une relation « anormal » de la petite fille avec son père. Son père… Etait-ce lui la cause de ce massacre ? Rien n’était sûr, mais tout portait à croire ceci. Tout comme Edward et sa mère castratrice. À force de prendre son fils pour de la m*rde, de le surprotéger à la fois puis de l’envoyer au bagne. À force de le critiquer et de le culpabiliser, en avait fait un être profondément meurtri et incapable de croire en quoi que ce soit de « bon » ou « juste » sur cette maudite planète. Edward avait relevé la tête et se rendit compte à cet instant qu’il n’avait même pas daigné répondre à la dernière « tentative » de mademoiselle pour rester en ces lieux. C’était monstrueux ce déchirement entre l’envie de la laisser vaquer à ses occupations sans n’en avoir rien à faire, et ce désir plus qu’obsessionnel de la contraindre à rester ici, avec lui ! Ah… Qu’importe… Il n’allait pas se faire piéger comme bon nombre de fourmis et vermisseaux ? Il n’allait pas trouver quelque chose d’attirant en cette guenon ! L’anglophone se ravisa, fermant les yeux… « Merci. » Répondit-il simplement, sans même esquisser le moindre sourire. Puis une nouvelle idée lui vint à l’esprit. Lui ? Se montrer gentil ? Tsss… Il était plus probable de voir un jour courir une dinde avec un jupon que de rencontrer Edward susurrant des mots doux véritables à une éventuelle « petite amie ». Il n’était pas très doué pour tout ça, sauf pour jouer les beaux parleurs, of course. Non, ce qu’il savait faire néanmoins, et qu’il faisait depuis sa naissance… C’était son chiard. Un chiard professionnel, le genre de sale gosse que l’on jetterait bien par la fenêtre un jour ou l’autre. Arborant un air plus détendu, et ô combien sarcastique, le Don Juan apparu dans la cage d’escalier à son tour et dit à haute voix : « Et y’en a combien qui t’attendent sous les draps ? » Il se mit à rire tout en se hissant grâce à la rampe jusqu’à la marche au-dessus de celle que venait de gravir Melena. Là il la toisa avec dédain puis afficha un large sourire… « Je dis ça… Je dis rien… Mais c’est vraie que de ce que j’en ai vu, ta poitrine a de quoi faire des ravages, je peux comprendre qu’il y ait la queue derrière ta porte. » Il la laissa le dépasser puis grimpa à nouveau trois marches, l’empêchant d’accéder à son étage. « Je me trompe peut-être mais… Enfin tu peux persévérer à me prendre pour le dernier des crétins, quoi que je doute qu’un idiot puisse en arriver à te poser cette question toute simple : Tu t’ais fait violer ? » Un silence s’imposa. Un silence très lourd qui laissa Edward songeur. Il avait donc raison ? Pouvait-il aller encore un peu plus loin ? c’était très risqué, surtout s’il avait tord… mais çe ne comptait en fin de compte pas tant que ça d’essayer, surtout quand on a pensé à prendre sa baguette sur soi. Il reprit donc, l’air grave cette fois, histoire de bien montrer que tout cela ne l’amusait pas… « Ton père… T’a dérobé ton innocence… N’est-ce pas ? »Qu’elle n’essaye pas de comprendre le comment du pourquoi il l’avait su, mais notre dandy était non seulement très intelligent, mais aussi hyper intuitif. D’après son raisonnement précédent, il en était arrivé à cette fine conclusion… Sans être certain que cela soit vrai. Il n’empêche que ce qui était dit restait gravé dans les mémoires… Et il ne recula pas, préférant s’assoire sur une marche, son regard toujours planté sur le visage de la belle brune. « Et c’est ça qui t’empêche de me dire clairement que tu meurs d’envie de me faire l’amour… Mais sans me blesser ? » Souffla-t-il d’un ton plus rassurant qu’autre chose en lui tendant sa main, comme une offre… | |
| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 22 Juin - 14:33 | |
| - Spoiler:
T'inquiète j'ai de quoi faire ^^
Un simple merci, et s'en était finie de cette soirée qui pour le moment enchaînait les échecs. Avec la chance que j'entretenais ce soir, Ailyn se laisserait emporter et me tuerait. Tant mieux en un sens…Elle débarrasserait le monde d'une erreur, d'un parasite, d'une sale pute qui n'y a pas sa place. Personne ne pleurerait sur ma tombe. Mon père m'enterrerait oui, pour faire bien devant la haute société. Il jouerait la comédie, recevant les vœux de condoléances, il se forcerait à verser une larme, comme à l'enterrement de ma mère je suppose. Mais quand tout le monde serait repartis, ayant complètement oublié qui j'étais le lendemain matin, il cracherait sur ma tombe en se disant: « Tant mieux, cette saloppe s'est enfin décidée à crever, maintenant je peux recommencer ma vie! ». Ainsi se terminera mon histoire, j'en étais sure. Et je m'en foutais. Ce qui me tuait, c'était cette chose qui me poussait à vouloir rester en compagnie de ce type que j'avais pourtant envie de gifler. Cette force qui ralentissait la montée des escaliers, cette force qui me murmurait: « Attend, attend encore…» et que j'aurais bien voulu faire disparaître. « Et y’en a combien qui t’attendent sous les draps ? » Sa phrase et le rire qui suivit me figèrent nette. Je serrais la rampe un peu plus fort, , me retenant ainsi de gifler à nouveau sa tête de joli cœur. L'envie ne m'en manquait pas, mais cette fois c'était un poing qui partirait et lui casserait le nez. Je ne serais pas gentille deux fois de suite…Quel con. Vraiment quel con! Il ne comprenait rien! Note…Moi non plus je n'y comprenais rien. « Je dis ça… Je dis rien… Mais c’est vraie que de ce que j’en ai vu, ta poitrine a de quoi faire des ravages, je peux comprendre qu’il y ait la queue derrière ta porte. » -Dégage Dashwood.Froidement, je le poussais pour pouvoir passer mais il me prit de vitesse et se retrouva à nouveau devant moi. Je le toisai d'un air noir. -Ecoute fiche moi la…« Je me trompe peut-être mais… Enfin tu peux persévérer à me prendre pour le dernier des crétins, quoi que je doute qu’un idiot puisse en arriver à te poser cette question toute simple : Tu t’es fait violer ? » Je sentis mon corps tout entier se figer. Je venais de recevoir une douche glacée…Comment pouvait-il savoir ça? Personne ne savait! Personne sauf Ailyn qui l'avait vu dans mon sang mais qui ne l'aurait jamais répété. Elle avait mieux à faire de toute façon que de discuter avec des humains de mon passé. Quand au fantôme de mon ancêtre qui avait jusqu'à assisté à la scène, il n'aurait rien dis non plus. Il ne se montrait que rarement aux autres et leurs parlaient encore moins. Alors comment, COMMENT ce type, ce salopard, ce…Il n'y a même pas de mot! Comment cet homme pouvait savoir? Peut être avait-il déduit tout simplement? C'est vrai que si on y regarde, mon comportement pouvait correspondre à cette hypothèse. Oui c'était sûrement ça…Une simple déduction. Une déduction que personne n'avait jamais pu faire, car personne ne me connaissait vraiment…Mais lui non plus, il ne me connaissait pas vraiment…Alors quoi? Pourquoi? Comment? Il avait deviné ça en quelques minutes? Il avait deviné ça en ayant passé une heure avec moi dans des toilettes où il s'était bien amusé et même pas un quart d'heure ici? Ou alors y réfléchissait-il depuis plus longtemps? Dans ce cas, ça impliquait le fait que j'occupais ses pensées tout comme il occupait de temps à autre les miennes…Oh et puis non, c'était vraiment trop stupide. C'était un hasard! Je devais briser le long silence qui s'était installé, je ne voulais pas qu'il sache…Il serait capable de le répéter à tout le monde. Quoi que ça pourrait définitivement ternir la réputation de mon père…Mais je ne voulais pas du regard faussement compatissant des autres. Autant me tuer tout de suite. « Ton père… T’a dérobé ton innocence… N’est-ce pas ? » Deviner le viol d'accord…Mais comment avait-il deviné QUI avait abusé de moi? Je commençais à croire qu'il lisait dans les pensées, ou dans le passé, ou qu'il avait un quelconque moyen…Un legimens peut être? Oui voilà…C'était ça…Quel salaud d'utiliser ce genre de pouvoirs! Vraiment…Son ton ne trompait personne…Il pouvait bien faire croire que ça ne l'amusait pas, au fond cet enfoiré sadique s'éclatait… Je me sentais mal, comme percée à jour. J'avais l'impression qu'en sachant ce secret, on me violait à nouveau. Les images désagréables me revinrent en tête, d'un coup, oppressantes, sans pitié. Je sentis des larmes me monter aux yeux, que je refoulais. C'est l'ancienne Melena qui pleurait sans arrêt…Moi je ne pleure plus…Plus jamais. « Et c’est ça qui t’empêche de me dire clairement que tu meurs d’envie de me faire l’amour… Mais sans me blesser ? » Non! Non je ne voulais pas! Encore une fois il se croyait supérieur, il croyait pouvoir tout posséder, il croyait que je le désirais différemment…Je ne pouvais pas supporter de l'entendre tout haut. A la place, je glissais ma main dans ma poche et serrais ma baguette d'une main, la rampe de l'autre. Les yeux baissés, toute la scène se repassait devant mes yeux, comme un film dont la bande serait programmée à tourner éternellement. Encore, et encore, et encore… Je devais parler, dire quelque chose. Je devais me protéger de lui, de ce qu'il avait pu me faire, du sortilège qu'il avait utilisé pour savoir ça, ou le forcer à me dire comment il l'avait su! Si cette conversation avait eu lieu deux heures plus tard, j'aurais tout appris tellement facilement…La, je devais me débrouiller avec ma baguette…Juste ma baguette, je n'avais que ça. Il me dominait… -C'est quoi ton truc? Legilimens c'est ça? Franchement tu tombes bas, tu me fais pitié…Ça te fais marrer de fouiller le passé des gens? Il y a des démons qu'il vaut mieux ne pas réveiller. Je n'ai pas envie de toi, je ne pourrais pas me regarder dans mon miroir si je couchais avec une larve dans ton genre. Tu me donnes envie de vomir.Toujours en serrant ma baguette, je montais une marche, arrivant à son niveau. Je n'avais jamais parlé de ça avec personne si on exclu Anna de la liste mais elle n'avait été d'aucun réconfort. J'aurais voulu, rien qu'une fois, pouvoir en discuter à cœur ouvert, pouvoir me débarrasser de ce poids, de le partager avec quelqu'un…Mais sûrement pas avec lui, sûrement pas avec un homme qui cerne les gens à coup de sortilège. Oui, c'était impossible qu'il ait pu deviner ainsi. Personne n'était intuitif à ce point…Personne…C'était impossible… Je ne le regardais pas, fixée déjà sur la marche suivante. Je ne voulais pas monter…Je n'avais pas envie de monter…J'aurais voulu pouvoir réagir de façon plus digne, lui faire du mal, j'étais même prête à user d'un sortilège impardonnable! Pourquoi fallait-il qu'il sache…Pourquoi fallait-il qu'une force m'empêche de m'en éloigner… -Tu sais…J'ai envie de t'étrangler…De t'étriper…De te massacrer d'une façon telle qu'on croirait à une bête…J'ai envie de te soumettre pendant des heures au sortilège doloris jusqu'à ce que tu perdes la raison…J'ai envie de te faire endurer toute la souffrance du monde…Je serrais le poing sur ma baguette, regrettant déjà les paroles que j'allais prononcer. Une perle salée tomba sur la marche de l'escalier…Ma voix était faible, presque cassée. -Mais je n'y arrive pas…Je n'y arrive pas…Je ne sais pas pourquoi…J'aurais voulu rayer ces paroles du temps, de l'histoire. J'aurais voulu pouvoir les barrer à l'encre noire comme on barre une faute dans un carnet. J'aurais tellement aimé que ça s'efface mais j'avais avoué ma faiblesse…Et en quelque sorte j'avais ouvert une brèche dans ma forteresse. Je me rendais alors compte de ma fragilité. Peut être étais-ce de la que venait mon désir d'immortalité? Je voulais voir mon cœur mourir, et ces souvenirs avec lui. Même si c'est grâce à cet événement que j'ai pu devenir la Melena forte d'aujourd'hui, parfois, le prix était lourd à payer. -Maintenant tu peux te foutre de moi vas y…Mais je n'ai pas envie de l'entendre, alors je vais me coucher.
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 22 Juin - 19:58 | |
| « C'est quoi ton truc? Legilimens c'est ça? Franchement tu tombes bas, tu me fais pitié… Ça te fait marrer de fouiller le passé des gens? Il y a des démons qu'il vaut mieux ne pas réveiller. Je n'ai pas envie de toi, je ne pourrais pas me regarder dans mon miroir si je couchais avec une larve dans ton genre. Tu me donnes envie de vomir. »
À l’instant même où Edward avait prononcé le mot « viol », Melena s’était figée, tel un glaçon ardent. Profondément blessé, mise à nu, elle ne pu que confirmer les soupçons pourtant peu fondés de notre dandy qui ressentit lui-même une sorte de malaise. C’était donc vrai ? Son père avait abusé d’elle ?? Non pas que cela soit nouveau à son esprit, il savait que tout existait en ce bas monde. Aussi bien la pauvreté que le choléra. Les tortures physiques et mentales, la haine… Mais il n’imaginait pas que cette fille, cette fille pourtant d’apparence normale et intégrée, ai pu vivre ce genre de sévices. Notre Don Juan tentait de se représenter vaguement la scène mais n’y parvenait pas. Pourquoi un père violerait sa propre fille ? Et en vertu de quoi ? Quelle pourriture fallait-il être pour dérober ainsi l’innocence d’une enfant ? Un porc, voilà ce qu’il était. Néanmoins, aucun signe de ces multiples interrogations n’apparu sur le visage dogmatique d’Edward qui conservait son sang froid en toute situation. Il avait provoqué ce conflit, il avait décidé d’aborder un sujet épineux dans l’hypothèse que cela soit vrai… Alors qu’attendait-il pour continuer ? Il n’allait tout de même pas s’arrêter en si bon chemin ? La première fissure venait d’apparaître dans la muraille pourtant réputée pour être implacable de la sulfureuse donzelle. Encore un peu et il creuserait son trou jusqu’à peut-être, créer une brèche qui ne se refermerait pas d’aussitôt. Non pas pour la voir souffrir plus encore… Mais pour le laisser pénétrer sa défense. Et en quel honneur ? c’est vrai après tout, il n’y avait de cela que quelques jours, nos deux libertins se haïssaient comme jamais et trouvaient en l’autre tout ce qu’ils refusaient de côtoyer.
Mais avant que le jeune homme n’ai trouvé le temps de reprendre conscience de la réalité, voilà que Melena s’était à nouveau remis à jouer avec ses grands couteaux, à déblatérer des paroles tranchantes qui heureusement, n’atteignirent pas le cœur d’Edward, prudent. Legilimens ? Elle croyait vraiment qu’il utilisait sa magie pour trouver tout ça ? Elle le pensait donc si fourbe ? Mais non ! C’était faux ! Tout cela n’était que force de déduction. Comment l’en convaincre ? Et surtout… Pourquoi faire ? Visiblement, la belle s’était déjà forgé une image bordée de préjugés concernant le Serpentard…
Elle ne le regardait plus, ses yeux étaient fixés sur une marche et ne la quittaient plus. Comme si fut-elle leur seul point d’appui. Comme si elle se trouvait sur un fil tangent… Au-dessus d’un vide de 300 mètres et sans baguette pour intervenir. Quoi que reprenant possession de sa langue et de quelques-unes de ses insultes favorites, elle rétorqua tout autre chose…
« Tu sais…J'ai envie de t'étrangler…De t'étriper…De te massacrer d'une façon telle qu'on croirait à une bête…J'ai envie de te soumettre pendant des heures au sortilège doloris jusqu'à ce que tu perdes la raison…J'ai envie de te faire endurer toute la souffrance du monde… »
Edward quitta la marche sur laquelle il se trouvait assit comme s’il voulut s’éloigner un minimum de cette furie en fusion. Peur ? Non… Enfin, pas pour lui du moins… Disons que sa présence d’esprit le contraignait à penser que si ses soupçons étaient exacts, alors elle serait incapable de lui faire le moindre mal, contrairement à ce qu’elle murmurait en cet instant. Son cœur se serra… Son poing aussi et pourtant, il ne silla pas, résigné à un seul et même but. En vérité, L’héritier Dashwood avait déjà subi plusieurs endoloris. Son père, un magicien très haut placé, avait réussi à effacer tout cela en le confondant à une simple erreur aux yeux du public, il n’empêche que c’était son fils qu’il visait chaque fois que ce dernier le décevait par ses résultats scolaires ou ses propos.La douleur était pire encore de ce que l’on en disait. Il ne s’agissait plus de douleur, mais d’une souffrance infiniment plus puissante. Comme si on vous poignardait de 1000 lames. Non… Pis encore… Un écartèlement peut-être ? Il n’existait pas de réel équivalent, mais Edward se souvenait de s’êtres parfois évanouis au bout de quelques minutes du sortilège. Une fois même, il n’avait plus su parler pendant plusieurs mois et la prononciation même du « endoloris » l’embarquait dans des crises impossibles.
Serrant sa paume contre la rampe, il soutint son regard avec force et fermeté. Pas question de la laisser reprendre le dessus. Elle allait craquer, cela se lisait à l’intérieur de ses prunelles luisantes de colère. Bientôt, elle ne pourrait plus tenir cette tension et se rendrait compte de l’incompréhensible…
« Mais je n'y arrive pas…Je n'y arrive pas…Je ne sais pas pourquoi… »
C’est à ce moment-là que le 7ème année remarqua la petite perle glacée qui avait laissée sa trace translucide sur la joue de Melena. Essayant de ne pas se laisser attendrir bêtement par cette simple image, il détourna subitement les yeux.
« Maintenant tu peux te foutre de moi vas y…Mais je n'ai pas envie de l'entendre, alors je vais me coucher. »
Et puis quoi encore ? Cette fois, c’était à son tour de s’énerver un coup ! Elle le prenait pour un parfait enfoiré ou quoi, D’accord il en était un, okay il était à des années lumières de l’être parfais. Néanmoins il y avait des limites que l’on se devait de ne pas dépasser. Empoignant violemment le bras de la demoiselle, il la força à se retourner et à lui faire face, une curieuse lueur consumant ses prunelles.
« Ça suffit ! Arrête de te montrer aussi désagréable avec moi. Je n’ai utilisé aucun sortilège pour m’immiscer dans ta tête, tout ce que j’ai dit… Je l’ai déduis de ton comportement ! Tu te crois si insubmersible ? Alors comment crois-tu qu’un « crétin » doublé d’un « enfoiré » comme moi a pu deviner ce que tu cachais avec tant de soin dans ta petite tête ?? Regarde les choses en face, et demande-toi pourquoi tu n’peux pas me faire de mal. Arrêtes de fuir parce que jusqu’à maintenant c’est tout ce que tu as été capable de faire. Bravoooo…Sauf que ça, tout le monde le peut. »
À quoi jouait-il ? De toute façon, il était évident qu’elle haïssait les hommes maintenant. Alors pourquoi se tuer à vouloir prouver que l’on vaut quelque chose ? pourquoi Edward devrait-il se fatiguer à une tâche qui ne lui apporterait rien ? Et surtout.. Pourquoi ferait-il cela ? il ne connaissait presque pas cette fille, c’était absurde ! Se pinçant les lèvres, il finit par lâcher la jeune femme et se résigna à laisser tomber, une bonne fois pour toute. Quoi qu’il dise ou quoi qu’il fasse, elle continuerait de le voir comme un « parfait raté », un sale type juste bon à récolter les meilleurs diplômes du ministère de la magie ainsi qu’une jolie victoire de Quidditch.
« En fait t’as raison… Va te coucher. » Souffla-t-il en se frayant un passage pour rejoindre la salle commune et progresser jusqu’à l’escalier menant aux dortoirs des messieurs.
Tss… Quelle bêtise. Il en avait appris plus sur elle que n’importe qui et voilà qu’il se recevait une nouvelle claque dans la figure. Nom d’une gargouille, mais qu’elle aille au diable ! Attrapant son chenapan de matou au passage, Edward balança le journal au feu et commença à gravir les quelques marches, manifestement hardi et impatient de rejoindre ses draps chauds.
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| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
Nombre de messages : 464 Age : 32 âge rp : On ne demande point son âge à une damoiselle. Mais j'ai dix sept ans. sortilège — potion fétiche : Flambios - Felix Felicis race : — humain(e) animal de compagnie : Euh...Un fantôme c'est un animal de compagnie? Parce qu'il me suit comme un chien! *SBAF* photo d\'identité : petit message : . Date d'inscription : 02/05/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 22 Juin - 21:28 | |
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Quelle autre réaction aurais-je pu avoir? Il m'avait percée à jour en deux rencontres –si on peut appeler ça des rencontres. Il avait tout deviné sur ma personne, sur mes secrets, mon passé…Bientôt il m'annoncerait qu'il savait que je parlais et touchais les fantômes! Les humains ont tendance à rejeter ce qui les connais trop bien, ce qui les effraie. Et jusqu'à quatre heure du matin, je serais encore humaine, donc je rejetterais Edward. Peut être que je m'y prendrais mieux une fois transformée, peut être…Peut être parviendrais-je à comprendre plus de choses? A comprendre, à posséder, cette force invisible jusqu'à la vaincre? Je ne voulais pas être attirée par lui, pourtant…Il avait beau être sexy, intriguant, tout ce que l'on voulait, il restait un p* d'enfoiré…
Je me racontais n'importe quoi, pour éviter d'entendre sa réaction. Les filles qui ont subis ce que j'ai subis, on les regarde d'un air compatissant, ou comme des déchets souillés. Lui, il me regarderait sûrement comme un déchet…Note, ça ne me changerait pas trop. Depuis les toilettes, j'avais l'habitude. Qu'importe au fond…
« Ça suffit ! Arrête de te montrer aussi désagréable avec moi. Je n’ai utilisé aucun sortilège pour m’immiscer dans ta tête, tout ce que j’ai dit… Je l’ai déduis de ton comportement ! Tu te crois si insubmersible ? Alors comment crois-tu qu’un « crétin » doublé d’un « enfoiré » comme moi a pu deviner ce que tu cachais avec tant de soin dans ta petite tête ?? Regarde les choses en face, et demande-toi pourquoi tu n’peux pas me faire de mal. Arrêtes de fuir parce que jusqu’à maintenant c’est tout ce que tu as été capable de faire. Bravoooo…Sauf que ça, tout le monde le peut. »
Déduis de mon comportement? Il se foutait de moi ou quoi?! Personne n'avait jamais rien déduis de mon comportement, même le seul garçon avec qui j'ai eu « une relation suivie » et lui en deux rencontres il me cernait comme par magie? D'accord nous étions dans une école pour sorcier, mais n'exagérons rien! Il se serait fichu de moi jusqu'à la fin décidément…Et si…Et si il ne se moquait pas de moi? S'il l'avait vraiment déduis? Après tout, c'était un garçon intelligent…Peut être avait-il des aptitudes en psychologies… Et pourquoi tentais-je de l'innocenter?
Une douche glacée, voilà ce dont j'avais besoin! Regarder les choses en face, c'est tellement facile à dire pour un type comme lui! Peut être avait-il subis des moqueries étant enfant, mais ce n'était rien en comparaison. Beaucoup de gens ont subis ce type de moqueries et n'en sont pas mort. Oh je détestais me considérer comme un cas particulier de malheurs, je me donnais envie de vomir dans ces instants. Juste que j'étais révolté…Qu'il ai deviné ou non, il savait et il n'avait pas le droit de savoir. Pas le droit, jamais…Jamais!
Implicitement, il me traitait de lâche et sans comprendre pourquoi, ça me faisait mal. En quoi étais-je lâche? Parce que je refusais de comprendre ce qui me poussait vers lui? Et pourquoi était-il tellement persuadé que j'étais attirée par lui? Si ça se trouve, je ne l'étais pas du tout. Non en fait j'étais stupide à me voiler la face…Il y avait quelque chose. Le tout, c'était de mettre un nom sur cette chose…
« En fait t’as raison… Va te coucher. »
Je le suivais du regard, presque triste. Non en fait…J'étais triste? Pourquoi? Pourquoi étais-je triste de le voir si brusquement s'en aller? Pourquoi étais-je triste de l'avoir énervée? Etais-je bien triste uniquement pour cela? Tant de questions…Je n'étais pas sure de vouloir une réponse. Ou peut être que si…Il montait les marches et soudain ce fut comme si ma bouche parlait d'elle-même.
-Ah oui? Je fuis? Et toi, que fais-tu exactement en cet instant précis? Tu ne fuis pas peut être? Monsieur va s'enfermer dans son dortoir avec sa satisfaction…
Mes jambes à présent, bougeaient d'elle-même. Une partie de moi hurlait et voulait aller s'enfermer dans la chambre d'Ailyn jusqu'à son retour, tandis qu'une autre voulait lui faire face. A nouveau, un affrontement entre l'ancienne et la nouvelle moi…La nouvelle moi ne supportait pas d'être traitée ainsi, elle voulait savoir ce qui se cachait derrière cette façade froide, impassible…Et l'ancienne voulait fuir, se voiler la face et se réfugier dans un environnement connu. Sans Edward, sans cauchemars…
Mes jambes donc, bougeant sous l'impulsion de la nouvelle Melena –non je n'étais pas schizophrène- m'emmenèrent jusqu'à lui. Nous étions à nouveau face à face, les yeux dans les yeux, quand sous je ne sais trop quelle impulsion, mes lèvres se retrouvèrent contre les siennes, à l'embrasser sans gêne. La force qui me poussait alors jusqu'à lui se calma et je me sentais...Bien? Non ce n'était surement qu'un effet de euh...Pas d'optique mais...Enfin c'était surement autre chose. Lorsque ma conscience reprit le dessus, je me séparais de ses lèvres tout en restant près de lui et débitais ma dernière tirade.
-C'est bien trop facile. Comment pouvais-je penser que tu avais DEVINE hein?! Ça fais sept ans que personne n'a jamais rien DEVINE et toi, toi que je connais à peine, TOI, tu devines TOUT! Evidemment j'aurais du le savoir! Excuse moi de ne pas être ta mademoiselle parfaite avec un cerveau fonctionnant à toute allure, excuse moi de ne pas être assez bien pour toi. Et tire une autre tête c'est bon, je l'ai pas ta putain de syphilis.
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
Nombre de messages : 143 Age : 33 localisation : Derrière toi âge rp : 17 ans sortilège — potion fétiche : Legilimens - pénétrer l'esprit des gens race : — humain(e) animal de compagnie : Une chatte albinos complètement fêlée du bocal, mais à laquelle il tient comme à la prunelle de ses yeux. photo d\'identité : petit message : Serpentard accompli, attrappeur de l'équipe de Quidditch et parle fourchelang couramment... What else? Date d'inscription : 15/06/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 22 Juin - 22:43 | |
| Sa satisfaction ? Quelle satisfaction ? Non Edward ne rejoignait pas son dortoir le cœur léger comme semblait le croire notre Serpentarde. Au contraire, il se demandait déjà comment il allait pouvoir trouver le sommeil avec un tel degré d’excitation. Rigoureusement impossible, c’était comme espérer trouver le sommeil en étant entouré de cymbales ! Cynique, il ne pu que sourire à cette dernière exclamation de la part de Melena, comme une revanche. Qu’importe ce qu’elle dirait maintenant, il n’était pas ici pour essuyer ses plaintes ou ses regrets. Pas ici pour la regarder pleurer non plus. Elle s’était fait violer, maintenant il le savait, et faisait partie de ce clan extrêmement fermé concernant tous ceux qui avaient le malheur de partager ce secret. Il n’allait pas se montrer plus chaleureux pour autant. Du moins… Pas tant qu’elle le regarderait comme ça, d’une façon aussi… Piaillarde. Connaissait-elle le sens du mot « féminité » ? Qui consistait entre autres à ne pas beugler comme une chèvre sur quelqu’un ? Edward secoua la tête, comme déçu une nouvelle fois par la réalité. Une réalité qu’il supportait de moins en moins. C’est ainsi qu’il continua à gravir quelques marches, sans montrer l’ombre d’une hésitation. Il restait froid, tel un colosse de marbre, un ectoplasme auquel on aurait retiré le cœur. Mais Edward avait encore son cœur… Il fallait simplement savoir où chercher. Le visage de Melena arrêta net le dandy dans sa progression. Elle l’avait surpris et lui avait manqué de dévaler ce qu’il venait de montrer, mais sur les fesses cette fois. Mais qu’est-ce qu’elle voulait encore ? Elle n’était pas encore partie se coucher ? pourtant, plus rien ne la retenait ici… Et surtout pas le Londonien qui la toisait presque méchamment, suite à la surprise dont elle était la cause. Il faillit le lancer un « quoi ?? » peu avenant lorsque des lèvres chaudes rencontrèrent les siennes, l’empêchant du même coup de prononcer le moindre mot. De quoi ? Pardon ?? Kessako ??? ( xD ) Procédons par logique voulez-vous. Jusque là, il n’y avait que deux personnes dans la pièce. Il est presque trois heures du matin et il y a donc très peu de chance pour qu’un tiers se réveille maintenant. L’un de nos deux protagonistes se retrouve maintenant soit en proie à une grosse hallucination, soit une demoiselle est en train de l’embrasser. Or il n’y a toujours que deux personnes ici présentes. Donc…. Le constat fut effroyable. Melena ?? C’était elle qui osait l’embrasser ainsi ? Et pourquoi ? En quel honneur ? ne venait-elle pas de dire qu’il était le garçon le plus détestable de cette école ? Allons… Cessons les gamineries. Edward tenta d’enclencher sa batterie de secours au cas ou son cerveau disjoncterait comme maintenant, ce qui lui permis de reprendre un minimum conscience… Là il tenta de comprendre… L’incompréhensible. L’être humain n’est qu’un sac de mystère, pourquoi chercher des réponses à tout ? « C'est bien trop facile. Comment pouvais-je penser que tu avais DEVINE hein?! Ça fait sept ans que personne n'a jamais rien DEVINE et toi, toi que je connais à peine, TOI, tu devines TOUT! Evidemment j'aurais du le savoir! Excuse-moi de ne pas être ta mademoiselle parfaite avec un cerveau fonctionnant à toute allure, excuse moi de ne pas être assez bien pour toi. Et tire une autre tête c'est bon, je l'ai pas ta putain de syphilis. » Le jeune Dashwood n’en fit rien. Il n’avait pas bougé, pas cligné un cil et s’était contenté de la regarder avec quelques ignorances dans l’œil. C’est vrai qu’il ne comprenait pas tout ce qui se passait ce soir. Mais étai-ce le plus important ? N’étai-ce pas plutôt ce sentiment de bien être qui naissait en lui comme un bouton de rose qui s’ouvre au soleil ? Très franchement… Il avait un peu peur. Peur de l’inconnu sans doute, comme nous tous. Tous ses sens en alerte, il tentait de rester sur ses gardes bien que ses passions ne le poussent à agir tout autrement. La syphilis ?? Elle venait de parler de Syphilis ? Après cet instant bug, Edward parvint enfin à réagir… Et il rit. Il rit doucement, sans affront et sans provocation. Juste une tension qui s’éloigne… Et file au loin, avec l’espoir qu’elle ne revienne pas de sitôt. « Et si on se comportait en adulte… Pour une fois ? » La question était de savoir ce qu’il entendait exactement par « adulte » mais ça, Melena allait très vite le savoir. En effet, leur bouches se rejoignirent à nouveau, Le Don Juan offrit à sa demoiselle un baiser fougueux et surtout imprévisible. C’était la tempête après le calme… La double personnalité de ce séducteur hors du commun. Un aspect de sage, un intérieur brut et une âme de braise. Il faillit même les faire tomber tous les deux mais non, contrôlant la situation à merveille, il enroula ses bras autours de la taille de sa Serpentarde et la transporta jusqu’au canapé sur lequel il le reposa gracieusement… Mais pressement à la fois. Ce n’était pourtant pas son genre de faire ça ou du moins, pas avec une fille qui l’avait giflée une heure auparavant. Déviant ses lèvres, il multiplia ses baisers vers la gorge brûlante de Melena tandis que le rythme de sa respiration se faisait plus fort… Il la désirait plus que n’importe qui, il la voulait pour lui seul… Et tout de suite. Cette impression de pure angoisse, c’était l’adrénaline qui dévalait chacune de ses artères. Il avait chaud… En ce plein mois de Novembre, le feu de cheminée à peine perceptible, il fulminait… N’écoutant que ses plus bas instincts (pour le plus grand plaisir de Madame ) Edward fit parcourir ses longues mains déliées le long des cuisses de la belle puis remonta jusqu’à son visage qu’il entoura délicatement, l’obligeant à le regarder dans les yeux… Un frisson insolite le parcouru à cet instant… Et il eut soudainement froid. Mais qu’est-ce qui lui arrivait exactement ? D’abord cette envie soudaine de faire l’amour à cette fille qu’il ne connaissait finalement pas, puis ce… Cette… Ah qu’importe ! Ses paupières se plissèrent en même temps que son sourire s’élargit… Il l’embrassa à nouveau, jouant avec la texture de ses lèvres, de sa langue… « Cette fois… Tu peux faire ce que tu veux de moi… » Susurra-t-il suavement à son oreille, le corps engourdit par la puissance de ses vagues d’excitations. Il entreprit alors de la débarrasser de sa chemise qui, soit dit en passant, était déjà ouverte de moitié… La débarrassé de sa cravate puis défit le bouton d’attache de sa jupe.. Sans aucune précipitation. | |
| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 22 Juin - 23:17 | |
| Edward eut une réaction assez inattendue. Il rit…Il rit, tout simplement et j'eus envie de faire pareil. Pour une fois, il ne riait pas de façon moqueuse, non c'était un rire simple…J'avais fini ma phrase sur une note plutôt…Peu drôle, mais entre lui et moi, il y aurait toujours cette fichue histoire de Syphilis. Dis comme cela, c'est fort étrange je l'admets…Heureusement, personne ne lisait mes pensées en cet instant, sinon, il aurait de quoi se poser de fameuses questions!
« Et si on se comportait en adulte… Pour une fois ? »
Je souris. Pas narquoisement, pas méchamment, non juste…Comme cela. Normalement, comme le font beaucoup de filles, mais comme je ne l'avais jamais fais moi-même. Se comporter en adulte…C'est vrai, ce ne serait pas de luxe de se comporter en adulte pour une fois depuis notre vraie rencontre. J'allais approuver quand ses lèvres se posèrent sur les miennes, dans un baiser si fougueux que je compris immédiatement ce qu'il entendait par « Se comporter en adulte ». Je ne pouvais m'en plaindre, n'est ce pas ce que j'avais toujours voulu depuis l'épisode des toilettes? J'avais essayé de le tenter pour qu'il me fasse l'amour, de toutes les manières possible. Au final j'avais obtenu un semblant de cela…Mais rien ne remplaçait l'union charnelle de deux êtres, la chaleur de son corps sur le mien, ses baisers…Je désirais tout cela.
Il me prit par la taille et m'emmena sur le canapé. Aucune chance que nous arrêtions pour monter dans une chambre…En même temps chacune de nos chambres étaient occupées par des camarades endormis et même avec un sortilège de mutisme, si l'un d'eux ouvrait les yeux, c'était foutu. Il restait la chambre d'Ailyn, mais elle me semblait si loin…Trop loin…Ce serait perdre du temps et la chaleur qui envahissait mon corps m'interdisait de perdre ce temps précieux. Ses lèvres quittèrent les miennes pour envahir mon cou, ce qui m'arracha un gémissement. Ce n'était pas compliqué de me faire gémir, surtout en me connaissant un minimum. Le cou était un endroit sensible chez moi comme j'avais toujours fantasmer sur les morsures de vampire.
Parallèlement, ses mains remontaient le long de mes cuisses sans pour autant toucher mon intimité qui n'attendait que ça. Je sentis des vagues de désirs se propager dans le bas de mon ventre. Il ne fallait pas aller trop vite…Plus il prendrait son temps à m'exciter correctement –même si je l'étais déjà énormément- plus il aurait de chance de me faire crier. On pensera à lancer un petit sortilège de silence avant hein…J'aimais pouvoir me lâcher dans ce genre de moment, sans trop exagérer.
Nous échangeâmes un regard, puis il m'embrassa à nouveau. Je tentais de prolonger ce baiser au maximum tant la chaleur qui m'envahissait à son contact était…Divine. J'avais l'impression de planer comme lorsqu'on reprenait d'une drogue à laquelle on était accro, mais des années plus tard…Cette comparaison est stupide j'admets, mais je me comprends.
« Cette fois… Tu peux faire ce que tu veux de moi… »
Il se mit à me déshabiller, je fis de même pour lui. Avec habilité, je dénouais sa cravate qui finis quelque part sur le sol de la salle commune. On s'occuperait de retrouver où plus tard…Comme lui, ensuite, je m'attaquais aux boutons de sa chemise sans pour autant la bouger. Je trouvais ça sexy les chemises déboutonnées…Et torse nu, il était vraiment à croquer! Bref. Ma main glissa le long de son torse, de son ventre, de ses hanches, jusqu'à arriver à la boucle de sa ceinture. Cette même ceinture qui maintenait son pantalon…Ultime obstacle à une petite vengeance bien méritée…
-Tu n'auras pas besoin de le dire deux fois, soufflais-je avant de l'embrasser.
J'eus besoin de mes deux mains, pour venir à bout de cette saleté en cuir. Lorsque ce fut fait, je pus enfin approcher cette chose que je convoitais. Je l'effleurais, lui offrant la proximité de mes doigts sans pour autant lui dévoiler tout mon talent. Je n'avais pas cessé de l'embrasser, et ce fut à mon tour de descendre dans son cou où je remarquais deux traces de morsure…Qui donc l'avait mordu? Un vampire certes, mais lequel? Ailyn? L'espace d'un instant je fus déconcentrée par cette interrogation puis je jugeais qu'elle n'avait aucun sens. Autant me servir de ces marques…Les mêmes que sur mon propre cou, que je savais sensibles.
-Tu aimes te faire mordre alors…? C'est pervers…Mais ça me plait…
Je collais mes lèvres à son cou, effleurant ces marques du bout de la langue avant de moi-même les mordiller. Mes canines ne valaient pas celles d'un vampire accomplis malheureusement, mais je les trouvais pas mal quand même…Je fis un peu glisser son pantalon, dominée par l'envie malsaine de lui faire plaisir à mon tour comme il avait eu le culot de le faire précédemment…
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Mar 23 Juin - 0:14 | |
| Hj : Plus de 18 ans oblige (comment ça j’ai pas 18 ans ? Qui a cafté ?? =O) Nous ne prenons aucune responsabilité, gardez vos mains, pattes, nageoires ou tentacules dans vos poches XD *baf*
Edward dominait l’échange, il avait aussi eu l’audace d’amener Melena jusqu’à ce Canapé sur lequel il la déshabillait maintenant. Aucun mouvement de recul… Rien de négatif, elle semblait visiblement prête à se laisser aller dans une nuit de luxure elle aussi. Quelque chose de coquin… Et de terriblement croustillant à la fois. Les gestes habiles, il ne se lassait pas l’émoustiller de petites caresses ne de l’embrasser tantôt fougueusement, puis avec plus de douceur… Il lui avait dit ça, et elle avait répondu ceci. En un instant, leurs vies allaient être bouleversés à tout jamais… Mais ça, ils l’ignoraient encore. Profitant de l’instant présent en ignorant tout de l’avenir. C’était peut-être ça la réponse à toutes ces questions ? Peut-être ne fallait-il pas se poser de questions mais se laisser guider par le temps qui file… Toujours trop vite. La belle avait déboutonné la chemise de son cavalier mais la lui avait laissé, sans doute aimait-elle cette vision d’un corps pas encore tout à fait dénudé tout en profitant d’une vue imprenable sur son torse à la peau aussi blanche et scintillante que le marbre. Bientôt, ils ne formeraient plus q’un, bientôt… Mais pas encore. Par la suite, les mains baladeuses de Melena s’étaient attaquées au ceinturon du jeune homme… Ceinturon qui ne résista pas bien longtemps, permettant à la donzelle d’atteindre la virilité de son amant. Ne lui avait-il pas dit de faire ce qu’elle souhaitait de lui, de son corps ? il fallait assumer maintenant.
Le cœur bondissant dans sa poitrine, Edward tenta de se remettre les idées en place… Vainement. L’excitation rendait les choses floues, et il ne pourrait réaliser ce qu’il fait qu’une fois l’action passée. Les baisers se multiplièrent, les caressent aussi, se faisant toujours plus chaudes et enivrantes les unes que les autres… Le Don Juan se sentait partir en un point de non-retours. Il fallait qu’il agisse pour leur sécurité à tous les deux avant qu’il ne soit trop tard… Pour cela, il s’obligea à couper net l’un de leurs langoureux baisers et se redressa. Le souffle court, il chercha des yeux sa baguette qui devait avoir atterri dans les environs… Lorsqu’enfin l’acier liquide de ses yeux rencontra l’objet tant convoité. Il s’en empara et prononça le sortilège d’assurdiato histoire d’insonoriser un peu tout ça. Sait-on jamais… S’il se souvenait bien, Lexane avait tendance à ne pas lésiner sur les cris dès qu’elle atteignait l’orgasme ; il était possible qu’il en soit rigoureusement de même pour la jolie brune. Edward n’avait rien contre les explosions de jouissance, il trouvait même ça aussi excitant que gratifiant… Mais, pendant qu’on y est, inutile d’informer les voisons qu’on est en train de s’envoyer en l’air.
Cela fait, il laissa tomber l’objet qui alla rejoindre la chemisette et la jupe de miss Alcott et s’allongea sur elle, bigrement sensuel… Sentir la pression des seins de sa maîtresse contre sa propre poitrine le ravit… Il partagea de nouveau quelques baisers furtifs puis dirigea ses lèvres sur son menton, puis sa gorge et enfin ses pommes d’amour irrésistible qu’il croqua chaleureusement… Mordillant, jouant, suçant ce petit point sensible, il aurait pu s’y attarder des heures si madame n’en avait pas décidé autrement. L’approchant de son corps, leurs physionomies se confondaient à la perfection… C’est la petite réflexion qui s’immisça dans la tête d’Edward avant d’être chassée par la soudaine morsure de Melena.
« Tu aimes te faire mordre alors…? C'est pervers…Mais ça me plait… »
Surpris, il se laissa pourtant faire, gémissant de pur plaisir. Pervers ? Ce n’était pas nouveau. Les plaisirs coupables sont aussi les plus convoités, et notre dandy ne se cachait pas ce vice. Il adorait la sensation que prodiguait en lui la morsure d’un vampire… Mais celle de notre Serpentarde n’était pas désagréable non plus… Bien que cela soit plus lié au fait que le cou d’Edward soit son plus gros point faible. Il suffisait de lui souffler dessus pour qu’il sursaute à s’en cogner la tête au plafond. Un autre vice hérité de la souffrance cette fois. Petit, l’enfant Dashwood avait subi quelques persécutions considérées comme mineures dans une famille aussi autoritaire et fêlée que la sienne. Parmi celles-ci, il y avait la strangulation. Mr Victor-Edward Dashwood utilisait beaucoup ses mains pour punir son héritier… Lorsque celui-ci se comportait mal. Une éduction à rendre fou, mais qui – au final – avait porté ses fruits.
Mais revenons-en à nos deux tourtereaux, proche de la fusion charnelle… Le jeune homme s’était assez laissé mâchouiller comme ça… Reculant son visage, il observa un court instant le sublime visage de Melena, il effleura de son pouce la griffure que son chat lui avait infligée puis déposa ses lèvres dessus, comme s’il eut voulu l’en déposséder. Esquissant un bref sourire, il entrouvrit ses lèvres, laissant place à plusieurs soupirs. Ses doigts se délièrent le long des cuisses et du ventre de la sorcière, puis effleurèrent l’intérieur de ses cuisses sans beaucoup d’hésitation. Après tout… C’était un chemin qu’elles connaissaient déjà. Se mordillant malicieusement la lèvre inférieure, Edward fit glisser les bretelles du soutien-gorge de la belle puis retira sa petite culotte. Sans s’en préoccuper plus longtemps, il était maintenant accroupi, à l’extrémité des jambes nues de sa Vélane. Progressant sur celles-ci à l’aide de multiples baisers savoureux, il en arriva à son jeu favori, peut-être celui qui consiste non pas à découvrir avec les doigts, mais avec la langue cette fois (a)
N’allons pas trop loin, il ne s’agissait pas de la faire bondir jusqu’au 7ème ciel par quelques simples coups de langue… Il y avait mieux par la suite. Mais c’était une chose que le jeune Anglophone avait toujours appréciée. Il n’avait jamais jugé cela déplacé ou simplement dégoûtant… Après tout, les donzelles ne nous offrent-elles pas aussi quelques gâteries ? Pourquoi leur en refuser dans ce cas ? Finissant de titiller la perle d’amour de sa maîtresse, et la jugeant assez frétillante comme cela, Edward rejoint son nombril cette fois, puis à nouveau sa jolie bouche ; recouvrant sa position initiale bien que ses mains tremblaient maintenant de désir.
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| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
Nombre de messages : 464 Age : 32 âge rp : On ne demande point son âge à une damoiselle. Mais j'ai dix sept ans. sortilège — potion fétiche : Flambios - Felix Felicis race : — humain(e) animal de compagnie : Euh...Un fantôme c'est un animal de compagnie? Parce qu'il me suit comme un chien! *SBAF* photo d\'identité : petit message : . Date d'inscription : 02/05/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Mar 23 Juin - 0:59 | |
| Je constatais agréablement deux choses: La première, il avait eu le bon sens de lancer ce fichu sortilège de silence. La deuxième: il aimait les petites morsures que je lui infligeais –si l'on peut appeler ça ainsi quand on compare à la morsure du vampire. Apparemment nous avions tous les deux le même point sensible et nous savions tous deux que l'autre possédait le même. Les gémissements que je parvins à lui arracher déclenchèrent des vagues de désir plus forte dans tout mon corps. Si j'étais capable de le faire gémir, je pouvais tout faire…
J'aurais bien continué, car j'avais la soudaine pulsion malsaine de boire son sang, mais il en avait décidé autrement. Il recula sa tête, me regarda. Je souris et frissonnais en sentant ses doigts courir le long de mes cuisses, de mon ventre. Je sentis mes joues rosirent, pas de gêne non…Je commençais à avoir chaud, chaud de passion, chaud de désir brûlant…J'avais envie qu'il me prenne, mais plus on attendrait, plus j'apprécierais…Alors j'allais le laisser jouer. Il me retira mon soutien-gorge, libérant ma poitrine dont la vue ne lui était pas inconnue. Ce fut ensuite le tour de ma petite culotte, et je sentis mon intimité réagir, je n'en fus pas gênée. Cette fois, j'en avais bien trop envie…
Je m'attendais à sentir ses doigts en moi à nouveau, mais il me réservait une toute autre chose. Il était accroupis et je voyais ses lèvres approcher de cet endroit si sensible.
-Qu'est ce que tu…
On m'avait déjà fais ce genre de chose, mais lorsque ses lèvres effleurèrent celle du bas, je dus empêcher mon corps de se cambrer trop fort. J'étais tellement excitée que chaque parcelle de ma peau était hyper sensible. Alors imaginez en un qui l'est déjà au départ…Je me mordis la lèvre presque à sang pour ne pas gémir trop fort –pas dés le début voyons! Je me sentais grimper l'échelle du plaisir, mais je savais qu'il arrêterait à temps. Certaines puritaines trouveraient ces pratiques écœurantes, ce n'était pas mon cas. On leurs faisait la même chose au fond! Et on récoltait la même chose! Alors pourquoi s'en offusquer dans un sens et non dans l'autre hein? C'est sexiste…J'appréciais le fait qu'il ose s'adonner à ce genre de pratique, même si elles me mettaient dans un état pas possible.
Il remonta sur moi, et je me mis à l'embrasser fougueusement, essayant par la de calmer un peu les pulsions qui m'ordonnaient de le supplier de passer immédiatement à l'acte. Non…J'avais autre chose à faire avant…Une autre chose oui. Je bénis Salazar d'avoir prévu des fauteuils assez large pour me permettre de prendre le dessus sans l'envoyer valdinguer sur le sol. A califourchon sur lui, je me calais sur ses hanches. En sentant la proximité de son intimité je n'en fus que plus émoustillée mais je tâchais de me contrôler. Juste le temps d'un compte à régler…
Je l'embrassais d'abord, en me collant contre son corps. Je descendis dans son cou, le mordillant à nouveau quelques secondes puis descendis sur sa poitrine. Ma langue joua avec la pointe de ses sein –si je puis dire- avant de suivre le tracé de son torse de rêve. J'arrivais à son nombril, qui eut aussi droit à quelques secondes d'attention avant d'être battu par quelque chose d'inégalable. Comme lui tout d'abord, je caressais cet endroit à l'aide de mes doigts puis l'effleurais avec mes lèvres.
Les parties plus sensibles que d'autres variaient en fonction des hommes, mais certaines étaient éternelles (c'est beau!). Ainsi, fidèle à une technique élaborée, je commençais par des effleurement avant d'y aller s'en me gêner, allant jusqu'à me comporter comme si je mangeais une sucette. Sans croquer bien sur…Sentir et entendre ses réactions me mettaient dans un état peu commun. J'avais bien sur déjà désiré des hommes, mais rarement à ce point la…Si pas jamais. Il y avait quelque chose en plus dans ce rapport, qui le rendait unique, incomparable aux autres. Je ne savais pas vraiment ce qu'était ce « quelque chose » et je ne tenais pas à en savoir plus. Certains mystères de la vie doivent rester…Des mystères. Des mystères jusqu'au bout. Ou jusqu'à ce que les protagonistes de ce mystère daignent le comprendre. Mais pour l'instant les protagonistes en questions étaient occupés à d'autres pratiques.
Je me remis à califourchon sur lui, nos parties intimes s'effleurèrent, je frissonnais. J'aurais pu conclure, je l'avais déjà fais bon nombre de fois, mais j'avais envie qu'il le fasse…Alors je l'embrassais à nouveau puis murmurais:
-Vas y…Montre moi ce que tu sais faire…Chéri.
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
Nombre de messages : 143 Age : 33 localisation : Derrière toi âge rp : 17 ans sortilège — potion fétiche : Legilimens - pénétrer l'esprit des gens race : — humain(e) animal de compagnie : Une chatte albinos complètement fêlée du bocal, mais à laquelle il tient comme à la prunelle de ses yeux. photo d\'identité : petit message : Serpentard accompli, attrappeur de l'équipe de Quidditch et parle fourchelang couramment... What else? Date d'inscription : 15/06/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Lun 29 Juin - 22:56 | |
| Quand on croisait Edward dans un couloir, on voyait quelqu’un en apparence… Sage. Excellent élève, duelliste hors pair, bonne répartie et physique ma foi… Plutôt enviable. Voilà en quoi l’on résumait facilement le jeune Edward Dashwood. Un garçon aux légendes et histoires multiples. On lui offre de nombreuses prétentions dont il en apprend l’existence chaque jour, sans pour autant s’en étonner. Les gens se doivent de choisir une statue à érigée, histoire de se reconnaître en elle. Pour certains, c’était lui. L’impensable, l’incommensurable, l’inédit… Alors qu’en vérité, si on s’approchait d’un peu plus près, on pouvait observer dans l’acier de ses yeux, une petite flamme obstinée qui dansait à l’intérieur même de ses pupilles. Une sorte d’étincelle joyeuse et mélancolique à la fois qui s’éveillait chaque fois qu’il découvrait ses paupières. Des paupières sombres aux cils immenses et noirs. Un regard monstrueusement aguicheur, à la limite de l’obscène dans un visage d’ange impur. S’il devait y avoir un ange déchu ici, on connaît son nom. Personne ne pouvait autant décevoir qu’Edward… Lui et ses multiples capacités, lui et son intelligence… Mais comme tout surdoué - ou du moins une grande majorité – le jeune homme préférait n’en faire qu’à sa tête et s’enfermer dans un cocon d’or et d’argent dans lequel il étincelait comme une luciole au-dessus des visages envieux tendus vers lui. Triste vie… Mais ça n’allait pas durer ainsi. Bientôt il serait le meilleur, le plus fort, le plus puissant magicien. La magie noire, blanche… Qu’importe ! Il contrôlerait cette scène de théâtre Universelle et tiendrait les fils de tous. Seulement… Pour cela, il avait aussi décidé de demeurer seul toute sa vie. De ne pas être emprunt de quelque chose… Ou quelqu’un. Les sentiments nous apportent bien plus de souffrance qu’ils nous accordent de bonheur. On souffre d’aimer, on souffre de vouloir, on souffre d’avoir… Néanmoins, il serait trop simple de dire qu’on peut éviter tout ce chagrin. A partir du moment où l’on né Homme, on reste Homme. Vampire, Lycans… Tout le monde dans le même vase et on secoue. C’était aussi pour cette raison qu’Edward n’enviait RIEN à ces créatures. Il les trouvait même plus prétentieuses que les mortels. Tout ça pour quoi ? parce qu’ils feraient parti d’une sorte d’élite ? Elite de quoi ? De qui ? pourquoi ? ça n’avait aucun sens…
« Oh, I know I know I know I know I know I know I know About your kind And so and so and so and so and so and so and so I'll have to play »
Que faisait-il alors ainsi allongé, son pâle visage entre les cuisses de cette demoiselle qu’il avait jusque-là considéré comme une simplette dépourvue de la moindre humanité ? Y’avait-il un sens à ce fait ? Il est parfois des événements que l’on se refuse à comprendre, et pour des raisons obscures elles aussi. Il n’était pas amoureux d’elle, c’était impossible et inenvisageable. Après tout, il ne la connaissait que depuis quelques heures et elle n’avait fait que lui cracher son venin à la figure. Tsss… Mais peut-être la vie lui réservait-elles d’autres surprises… on ne sait jamais comment une l’alchimie peut se finir. Il n’y a pas de règle dans l’amour. Pas de mode d’emploi non plus. Parfois une légère ligne à suivre tout au plus. Un peu perdu sans y penser vraiment, l’anglophone s’était amusé à éveiller les désirs les plus profonds de sa maîtresse avant que celle-ci ne le comble de baisers fougueux, presque agressifs. Puis elle avait retourné la situation à son avantage et à son tour, avait offert une gâterie commune au Serpentard qui en soupira plusieurs fois de plaisir. Au fait, ça faisait combien de temps qu’il n’avait pas fait l’amour ? Au moins quelques mois… Peut-être depuis qu’il avait quitté Lexane. Oui, sans doute était-elle la dernière femme qu’il avait fait vibrer toute la nuit. D’où son extrême jalousie envers toutes les nénettes qui approchaient aujourd’hui son meilleur amant. Allait-elle s’en prendre à Melena ? Hmmm… Très franchement, voilà une idée qui ne pu que faire sourire Edward, les imaginant déjà s’arracher les cheveux. Aaah… Trop bon.
« If you think you're getting away I will prove you're wrong I'll take you all the way Boy, just come along Hear me when I say Hey »
S’enrichissant des derniers coups de langue de la belle brune, le dandy en oublia presque qu’ils terminaient tout juste les préliminaires. Une chose que sa délicieuse compagne ne tarda pas à lui rappeler en lui susurrant quelques mots.
« Vas y…Montre moi ce que tu sais faire…Chéri. »
Edward entrouvrit ses lèvres charnues et poussa un soupire d’excitation. Renversant une nouvelle fois la situation, il la dominait de tout son être. Elle était allongée, et lui s’était allongé contre elle… Sa main s’empara d’une de ses cuisses et la souleva délicatement, l’écartant un peu plus par la même occasion. Il tremblait de désir mais ce n’était rien comparé à ce qu’il allait lui faire subir à cette petite nymphomane. La pénétrant de par quelques gestes lents et souples, il se fit plus rude par la suite, ses doigts retraçant le contour des lèvres et de la mâchoire de Melena. Edward n’était pas du style à faire du bruit durant ses ébats, néanmoins, il adorait écouter sa maîtresse jouir, l’entendre d’abord souffler, de plus en plus fort. Puis gémir et enfin crier sous quelques impulsions fautives d’un orgasme explosif. Ensuite, il se faisait plus tendre la plupart du temps, les laissait souffler en leur offrant quelques caresses ou chastes baisers… Le jeune sorcier se cambrait d’avantage, le visage redressé il avait clos ses paupières et ses joues rosissaient progressivement de plaisir. Leur peau luisaient de transpiration, la température grimpait en flèche et pourtant, malgré toute cette agitation, dans quelques heures les Serpentards passeront par cette salle pour rejoindre la salle commune sans imaginer une seule seconde ce qui venait de s’y passer. Une fusion charnelle parfaite, des vas et viens tantôt souples et tantôt violents, des ombres qui ne forment plus qu’une seule sur le mur face au feu crépitant de la cheminée…
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| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Mar 30 Juin - 14:52 | |
| - Spoiler:
Désolée c'est médiocre à souhait, j'ai honte de moi TT
A peine avais-je finis de prononcer cette phrase qu'un doute m'assaillit. Dans quoi étais-je en train de m'embarquer? Il y a encore quelques heures je voulais la peau de ce type et la je désirais de tout mon être le sentir en moi, je voulais gémir sous ses coups de reins, j'avais envie de lui à un point inimaginable. Sans doute le côté « nympho » qui prenait le dessus, comme toujours en ce genre de moments. Sans ce côté, je ne pense pas qu'un homme aurait pu poser à nouveau la main sur moi. Cette partie de moi, avide de relations charnelles, me faisait vivre. Il en avait été ainsi durant presque sept ans avec Sevan. Au moins deux fois par semaine nous couchions ensemble, et le reste du temps, on se partageait avec d'autres. Deux fois, c'était juste assez pour se dire « Je compte, je ne suis pas négligé ». Le reste c'était pour combler les trous, si je puis dire. Et voilà que je comblais avec Dashwood. Dire que ça aurait pu arriver bien plus tôt…Non. Si c'était arrivé plus tôt, je n'aurais pas ce sentiment de victoire complète en cet instant. Si c'était arrivé plus tôt, le désir aurait été moins fort, les sensations de moins bonne qualité…Et s'il avait prévu ça depuis le départ? Mh…Non ça m'étonnerait. Je l'imaginais bien calculateur, mais il ne pouvait pas être bon manipulateur à ce point la. Techniquement c'est disons…Impossible. « Vas y…Montre moi ce que tu sais faire chéri. ». Il s'apprêtait à accéder à ma requête. Il remontait sur moi, j'étais complètement dominée. Il serait libre de me faire ce que bon lui semblait, je n'avais plus rien à dire en cet instant…Je frissonnais de désir en sentant sa peau contre la mienne, ses mains remonter le long de ma cuisse…Allez vas y! J'avais envie de lui, tout de suite, mais il prenait son temps…J'étais à deux doigts de le retourner violemment sous moi pour prendre les devants quand enfin, il se décida. Je me mordis la lèvre, soulagée. Ce n'était plus qu'une question de temps à présent…D'abord calme et tendre, il se fit plus brutal ensuite ce qui m'arracha quelques gémissements à peine dissimulée. J'aimais l'alternance qu'il pratiquait et je ne me privais pas de lui montrer. Lui, il semblait apprécier m'entendre gémir de plus en plus fort au fil de ses coups de rein. Bientôt je crierais, bientôt… Tout de suite. Je poussai un cri de plaisir en jouissant finalement. Mon corps fut envahit de cette chaleur commune à l'orgasme. Je sentais mon cœur battre à toute allure, le sang battait à un point tel que ma vision se faisait floue. Je frissonnais et le laissai finir, continuant à gémir même si c'était un peu plus faible. J'avais les nerfs à fleur de peau à présent, chaque caresse était de feu…Un feu de plaisir. Je le sentis arriver lui-même à sa limite. Une autre fille se serait vexée, lui aurait dit qu'il fallait se retirer, mais je savais que ça ne servait à rien et surtout, ça gâchait le plaisir de l'homme. Après un plaisir pareil, je ne voulais surtout pas lui gâcher le sien…Alors je le laissais faire. De toute façon je suis sûrement stérile et je le voyais mal avec une quelconque maladie…Quoi que, maintenant il aurait peut être la syphilis! Je cherchais ses lèvres, pour l'embrasser. J'ignorais l'heure qu'il était et durant notre rapport je ne m'en étais que peu souciée. J'avais oublié qu'Ailyn passerait par ici pour monter dans sa chambre, qu'Edward serait peut être avec elle, qu'ils pourraient nous surprendre en pleine action, mais personnellement je n'avais plus rien à leurs cacher. Ils avaient vu les souvenirs dans mon sang, toutes les fois où je m'étais offerte à un tel, à x ou y, à Sevan, tout. Alors ils pouvaient franchement arriver…Ça gênerait juste Edward –l'humain. L'heure. Maintenant que j'y pensais, ça me préoccupait. C'est la que la grande horloge sonna trois heure du matin. Plus qu'une heure… -Déjà si tard…On ne voit pas le temps passer avec toi. Je t'avais sous-estimé…Même si bon, j'ai vu mieux…J'affichais un petit sourire provocant, histoire qu'il comprenne que je plaisantais et non que j'étais sérieuse. De toute façon mes cris avaient du suffisamment le renseigner sur la hauteur de sa prestation! Je ne suis pas du genre à simuler…Si t'es nul, t'es nul mon gars, assume! -Si tu comptes qu'il est trois heure du matin…On a encore une heure pour jouer…Ça te tente?
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Mar 30 Juin - 23:12 | |
| - Spoiler:
C'est pas du grand Art mais ça ira quand même xD
Edward n’attendait plus que ça, ce moment ou il sentirait sa maîtresse s’envoler presque trop loin de lui, avant qu’il ne la rejoigne à l’intérieur d’un nuage de pur plaisir charnel. Le plaisir interdit, le pêché… Qu’importe, le jeune éphèbe n’avait jamais cru en un Dieu quelconque. Pour lui la vie n’était pas faite pour préparer sa mort mais plutôt pour en profiter avant de retomber poussière. Bien sûr, chacun voit les choses différemment, et nos chemins sont tous plus ou moins nobles… Certains ne comprendront jamais rien et préfèreront se vouer à des causes inutiles et sans avenir comme l’anarchisme, ou autre… La Timocratie peut-être. Les grands voudront conserver leur privilège, mais ceux qui ne sauront pas s’y prendre tomberont comme une feuille morte. Edward était du camp de ceux qui savent où il faut mettre les pieds si on veut continuer dans la voie des « vainqueurs ». Il n’était pas un opportuniste comme Tancredi avait pu l‘être dans Le Guépard, ou comme pouvait le chanter Dutronc. Mais plutôt un réaliste presque fataliste. Les choses n’avançaient pas toutes seules. Et si on désirait quelque chose, on se bougeait le cul sous peine de se faire piétiner par ceux qui avancent… Mais ces gens-là, ces gens que « la masse » se plaît à juger ou à insulter… Pour la plupart, ce sont des gens qui ont eu le courage d’ouvrir les yeux, de travailler dur pour arriver enfin à poser leurs fesses sur un fauteuil Louis XIV. En cet instant de pure incertitude, c’était en cela que se résumait la pensée du Serpentard. Il croyait en la chance, mais il refusait de s’y appuyer. Une erreur que beaucoup de personnes faisaient. La chance… Tsss… C’est comme parier sa vie sur un billet de loterie. Une bêtise immonde ! Plus tard, il serait quelqu’un d’important. Un homme dont le nom restera inscrit sur les pages des manuels que l’on donnera aux élèves de Poudlard. La vanité mes amis ! Et oui ! Mais c’est en s’avouant cette vanité de l’Homme qu’on en profite avec plus de rigueur. Car oui, Edward désirait résider au-dessus de cette masse ventripotente qui tapissait les sols urbains. Au-dessus même de sa propre famille. Son nom raisonnerait dans les bouches et son visage ne saurait être oublié… Écoutant avec délectation les cris de plaisir qui émergeaient d’entre les lèvres de la belle brune, le séduisant magicien se concentra ensuite sur sa propre jouissance… Il avait perdu le fil l’espace d’une demie seconde en se rendant subitement compte qu’il avait complètement oublié LE moyen de contraception le plus efficace encore inventé à ce jour : préservatif mon ami. « Et merde… » Songea-t-il en fermant les yeux. De toute évidence, il était arrivé à un point de non-retours et Melena ne semblait pas vouloir qu’il se retire non plus. Dans ce cas, tout cela serait son problème. Tout de même… il y avait quelque chose d’étrange au fait qu’elle ne se soucie pas de cette minuscule erreur… Mais Edward en déduit qu’elle avait prévu autre chose, qu’elle prenait la pilule ou quelques tisanes magiques du même effet... Toujours est-il que ne s’en soucia pas plus que ça. Savourant les vagues de plaisir qui déferlaient dans son bas-ventre jusqu’à s’étendre dans tout son corps, il crut comme chaque fois, que son cœur allait exploser… Se mordillant la lèvre inférieure, il exprima plusieurs soupirs et quelques derniers mouvements de rein puis souffla doucement, se laissant progressivement choir sur le corps de sa maîtresse… Le sorcier se retira, laissant place à une petite avancée sarcastique de la part de sa charmante compagnie. Elle ne s’arrêtait donc jamais de parler ? Même après un pareil effort ? Il avait pourtant dû lui soutirer un bel orgasme en vue des cris qu’elle avait poussé… L’assurdiato était un sortilège fort utile. Elle pouvait avoir déjà vu mieux que cela n’en aurait pas plus chagriner le Don Juan, satisfait de son propre plaisir. Certes c’était agréable d’écouter les gémissements de sa partenaire, mais au fond, il n’y avait pas le moindre amour entre eux donc… Seul l’aboutissement de sa jouissance comptait. Il esquissa demi-sourire tout aussi sarcastique et un peu j’m’en foutiste aussi… puis s’était décalé sur le côté du canapé, un peu plus vers le bord afin de pouvoir s’allonger à son tour. Elle l’avait embrassé à nouveau… Et cherchait ses lèvres un peu trop souvent au goût de monsieur… Quoi que c’est ce qu’il disait maintenant, sans savoir que d’ici peu, il pourrait en ressentir un sérieux manque. Néanmoins, il se laissait faire, docilement ; y répondant parfois. « Si tu comptes qu'il est trois heure du matin…On a encore une heure pour jouer…Ça te tente? » Comment ça une heure ? Pourquoi une heure ? Elle avait prévu quelque chose ensuite ? Ah… Qu’importe. Edward savait qu’à un moment ou à un autre, il coucherait avec elle. Il savait quel effet il lui faisait… Il ne demandait pas pour autant qu’elle reste toute la nuit avec lui. Surtout qu’en règle générale, il préférait dormir seul. C’était plus agréable de pouvoir s’étendre comme un linge sous les couvertures sans entendre un couinement de douleur genre « AÏ, c’était mon nez !! » >.< Se redressant sur ses coudes, l’héritier Dashwood se hissa jusqu’à ce que son visage surplombe celui de Melena. Il la dévisagea un instant de ses pupilles d’une pâleur intimidante puis bifurqua lentement, jusqu’à ce que ses lèvres bouillantes rencontrent l’un des mamelons de la donzelle. Il le tortura du bout de la langue, le mordilla aussi… Puis le souffle de ses paroles vint rebondir dessus : « Une heure ? Pourquoi faire… ? Je n’travaille pas à l’heure moi, pas comme les putains. Si je veux m’arrêter et te planter ici, je m’arrête et te plante ici. » Il rit délicieusement lorsque son regard se planta dans celui de son interlocutrice. « Sauf si tu me dis ce que tu vas faire… Fais gaffe, je sais reconnaître les gens qui mentent... Et puis ça m’étonnerait qu’une pyjama partie ait lieu à une heure pareille.. » | |
| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Mer 1 Juil - 16:34 | |
| Sans le savoir, j'avais commis une bourde. Pourquoi lui avais-je dis qu'il restait une heure avant que je m'en aille? J'aurais pu, tout simplement, dix minutes avant l'heure, lui dire que j'étais fatiguée et que j'allais me coucher. Que j'avais envie de dormir seule ce soir, qu'il ne devait pas le prendre pour lui et qu'on recommence quand ça le chante…J'aurais pu, oui. Mais je ne l'avais pas fais, comme si mon inconscient me poussait à lui dire la vérité. A lui avouer que d'ici une heure, je serais passée d'humaine à créature des ténèbres. Que je serais une immortelle, une suceuse de sang qui désirerait d'avantage le liquide rouge coulant dans ses veines que sa propre personne. J'allais avoir ce genre de désirs pendant un moment, j'aurais du mal à me contrôler et même si j'avais confiance en le sang d'Ailyn, j'angoissais. Pour la transformation? Je ne sais pas, peut être…Ou plutôt…Pour sa réaction face à ça?
Mais qu'en avais-je à foutre de sa réaction? On venait de coucher ensemble, comme il avait couché avec des dizaine d'autres fille et moi des dizaine d'autres garçons. Cette force invisible qui m'avait tout à l'heure poussée à l'embrasser se manifestait, sous une autre forme. Elle me forçait à lui dire ce qui m'arriverait…Pourquoi? Il s'en ficherait probablement, et moi je me fichais de ce qu'il pouvait penser. Tu ne t'en fiche pas vraiment Melena… Ta gueule.
Non je ne suis pas schizophrène, juste…Puis merde. Si ça se trouve il ne relèverait même pas et me planterait la parce que j'aurais fais quelque chose qui n'était pas à son goût. Ou alors il s'amuserait à jouer avec ma poitrine ultra-sensible après cet orgasme, si sensible qu'il me soutira un dernier gémissement. Il m'aurait dominé jusqu'au bout…
« Une heure ? Pourquoi faire… ? Je n’travaille pas à l’heure moi, pas comme les putains. Si je veux m’arrêter et te planter ici, je m’arrête et te plante ici. »
Genre! Il serait incapable de me planter la…Et s'il avait une nouvelle montée de désir? Oh vous allez me dire qu'on a donnez des mains aux hommes pour se satisfaire eux-même, mais c'est quand même plus drôle de se satisfaire à deux…Et moins…Comment dire…Frustrant? Oui. Je soutins son regard, une lueur de défis au fond des yeux. Vas y chéri, plante moi la si t'en est capable…
« Sauf si tu me dis ce que tu vas faire… Fais gaffe, je sais reconnaître les gens qui mentent... Et puis ça m’étonnerait qu’une pyjama partie ait lieu à une heure pareille.. »
Ce fut à mon tour de rire. Un rire léger, qui n'avait de sens que pour moi, je n'en doutais pas. Une pyjama party…Pourquoi pas au fond. Ça aurait pu être un « nom de code » pour ce qui se déroulerait ce soir. Ses grands airs m'amusaient assez, en un sens. « Fais gaffe je sais reconnaître les gens qui mentent. ». J'allais répondre quoi à ça? Oui monsieur le grand profiler? Ou oui maître je vais tout vous dire? Mh!
-Tu sauras que pour certains, quatre heure du matin, c'est là où tout commence…J'ai rendez-vous figure toi.
Je marquais une pause, au cas où il se ferait des films en tout genre. Je suppose qu'à la place d'un homme, j'aurais été vexé si la fille avec qui je venais de coucher me disait: « Bon excuse j'ai rancard ce soir à quatre heure, c'était cool on s'rappelle hein! ». Bon il devait s'en doute n'en avoir rien à faire, mais au cas où, qu'il se torture un peu…
-Et bien que ça ne te regarde pas, je vais quand même te dire quand et avec qui, parce que je ne serais pas contre une deuxième manche…
Je me relevais un peu du fauteuil, toujours en le regardant droit dans les yeux. J'avais envie de voir si ça déclencherait une quelconque réaction ou si, comme je le pensais, il s'en foutrait pas mal.
-Ailyn m'a donné rendez-vous à 4 heure dans sa chambre…Pour le reste, je te laisse imaginer ce qu'on pourrait y faire…
Inutile d'expliquer le sous-entendu, même si ça n'avait absolument rien avoir avec la véritable raison de ce « rendez-vous». J'allais passer d'instrument à vampire…Je caressais du bout des doigts la marque de ses canines qui avaient mainte fois meurtris mon cou. Cette fois, ce serait pour de bon et demain qui sait, peut être que ces marques auraient disparus, comme toute autre cicatrice sur mon corps! De toute façon il ne pouvait PAS deviner. Il pouvait penser qu'elle me mordrait ou un truc du genre, mais qui la penserait capable de transformer un vampire dans l'enceinte de Poudlard? Personne évidemment, sauf ceux qui la connaissent assez bien pour ça...Et ce n'était pas le cas d'Edward Dashwood.
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| | | Edward Dashwood « Little drop of POison »
Nombre de messages : 143 Age : 33 localisation : Derrière toi âge rp : 17 ans sortilège — potion fétiche : Legilimens - pénétrer l'esprit des gens race : — humain(e) animal de compagnie : Une chatte albinos complètement fêlée du bocal, mais à laquelle il tient comme à la prunelle de ses yeux. photo d\'identité : petit message : Serpentard accompli, attrappeur de l'équipe de Quidditch et parle fourchelang couramment... What else? Date d'inscription : 15/06/2009
veritaserum maison*: — slytherin année*: — septième relationship's*:
| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Jeu 2 Juil - 14:52 | |
| - Spoiler:
Réponse faite ultra rapidement parce que j'suis ultra pressée xD J'ai mon Bus dans 10 minutes X3 Mais t'inquiète, c'est Hot quand même
« Tu sauras que pour certains, quatre heure du matin, c'est là où tout commence…J'ai rendez-vous figure toi. » Elle tentait de le rendre jaloux ou quoi ? cette façon qu’elle avait le lui lancer des regards soutenus, un peu du style « t’as entendu ? j’ai rendez-vouuuuuuuus ». L’ennui c’est qu’Edward ne voyait pas trop en quoi cela le concernait ni où il pourrait déceler de la jalousie. À vrai dire, il s’en moquait. N’avait-il pas eu ce qu’il voulait ? Une sauterie avec cette bombe ambulante ? Maintenant, elle pouvait aller se faire mettre par n’importe quel vampire, sorcier ou troll qu’il n’en avait rien à cirer. L’important était de satisfaire ses propres envies, or, ne venait-il pas de le faire ? manipulation darling… Manipulation. Il savait depuis le début qu’il coucherait avec elle… Mais ce qu’il voulait, c’était prendre le dessus, la forcer à lui tendre la main, à le rejoindre et à l’embrasser même, pourquoi pas ? Et tout cela s’était produit… Bien évidemment, il n’avait pas prévu que ce soit ce soir et pour être franc, les dates et lui ça faisait deux. S’il s’était réveillé ce n’était pas parce qu’il savait qu’elle passerait par la salle commune à cet instant précis non, d’ailleurs, il ne s’était pas vraiment fait « sexy » vêtu de son pull en laine blanc et d’un simple jean… Quoi que sur un tel éphèbe, tout pouvait paraître sensuel, à son avantage. Rien ne l’enlaidissait et pourtant, il n’était pas un de ces buveurs de sang au contacte glacial, mais bel et bien un simple être humain, bordé de défauts et de complexes…. Relevant son visage albâtre, il s’était amusé à son tour à soutenir celui de la belle brune. Elle cherchait toujours une once de jalousie ? Une petite étincelle d’envie ? Quelque chose qui s’en rapproche ? Et bien, elle allait être déçue, car mis à part un sourire innocent, rien d’autre ne prit place sur cette douce figure. Un sourire qu’il était impossible de déchiffrer, quelque chose d’extrêmement ambiguë mais qui EN RIEN ne laissait penser à de la… jalousie. Peut-être tout simplement parce qu’il n’y en avait pas. Edward se moquait bien qu’elle s’en aille avec l’intuition de s’être moquée de lui. Puisqu’il avait la même… « Et bien que ça ne te regarde pas, je vais quand même te dire quand et avec qui, parce que je ne serais pas contre une deuxième manche… » Une deuxième manche ? Le dandy ne retenu que la fin de sa seconde phrase, sans doute parce qu’il se fichait toujours autant de son fameux rendez-vous. Arquant un sourcil, il tenta d’immiscer sur ses traits, un minimum d’intérêt en ses paroles. Ainsi, mademoiselle désirait une second partie de « jambe en l’air » ? Un autre orgasme pour combler sa nuit ? Et si lui n’en avait pas envie ? Tsss… Insatiable cette gamine. Elle ne reconnaissait même pas la chance qu’elle avait de se retrouver dans les bras d’un homme aussi convoité que pouvait l’être Mr Dashwood. « Ailyn m'a donné rendez-vous à 4 heures dans sa chambre…Pour le reste, je te laisse imaginer ce qu'on pourrait y faire… » Ailyn ? C’était un vampire ça non ? Qu’allait-elle faire avec un vampire ? Faire ce que tout le monde fait… C’est-à-dire, se faire mordre par pure obscénité ? En vue des nombreuses marques incrustées sur la peau de Melena, ça ne pouvait être que ça. Bonjour le masochisme attitude ! Edward aimait ça, lui aussi… Mais seulement à très petit dose. Il trouvait ça diablement excitant et terriblement pervers. Rien de plus, rien de moins . c’est pourquoi il tenait sur chacune de ses clavicules, à la jointure de son cou, une trace de morsure dont l’une quasiment effacée. Son sourire s’élargit. L’idée que le vampire qui la morde apprendrait par la même occasion ce qu’elle venait de faire avant et avec qui… Lui chatouilla les entrailles. Ça aussi c’était excitant. Se faire prendre en flagrant délit tout en mimant l’indifférence… Fantastique ! « Faites ce que vous voulez, moi je m’en moque. » Souffla-t-il à l’oreille de sa maîtresse avant de noyer à nouveau sa petite poitrine d’une ondée de baiser plus ou moins accentué. Quel délice… Son grain de peau était fin comme la soie, et la tiédeur de son corps ne fit qu’alléger cet effet. Voilà l’une des nombreuses raisons pour laquelle notre dandy refusait catégoriquement d’être vampire : la chaleur du corps. La peau qui s’assouplit et de détend sous la pression d’une main chapardeuse. Ses frissons, ses soubresauts… Edward longea le contour du mamelon du bout de sa langue et le tortura plus encore en se plaçant comme un enfant tèterait sa mère. Il y avait deux choses qui différenciaient véritablement l’Homme de la femme : le sexe et la poitrine. On dit que les hommes envient parfois les Femmes… Et vis versa. Que l’un voudrait connaître l’orgasme de l’autre… Le jeune sorcier lui, aimait tenir dans sa paume, une poitrine de femme. Il aimait qu’elle ne soit ni trop petite mais pas opulente non plus… Comme celle de Melena, elle tenait sons sa pomme telle une délicieuse pomme d’amour. Son membre viril s’était durci à nouveau, et il effleura avec, la vulve de la donzelle. S’allongeant de nouveau contre elle, il glissa ses bras sous sa taille et la fit basculer sur le côté, en un mouvement de lente agonie. Pourquoi se contenter d’un canapé lorsque l’on a toute la pièce pour nous seuls ? Il l’avait allongée sur une table basse et s’était accroupi entre ses cuisses. Ses longues mains fines longèrent son ventre, suivi par les lèvres vibrantes du garçon qui longeaient sa ligne abdominale jusqu’au bassin. Il la pénétra… | |
| | | Melena E. Alcott « Forbidden vices || Come in darkness with me. »
Nombre de messages : 464 Age : 32 âge rp : On ne demande point son âge à une damoiselle. Mais j'ai dix sept ans. sortilège — potion fétiche : Flambios - Felix Felicis race : — humain(e) animal de compagnie : Euh...Un fantôme c'est un animal de compagnie? Parce qu'il me suit comme un chien! *SBAF* photo d\'identité : petit message : . Date d'inscription : 02/05/2009
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| Sujet: Re: Dear Darling ... {PV Melena} Dim 5 Juil - 18:38 | |
| - Spoiler:
Désolée du retard chou…Ca se reproduira plus « Faites ce que vous voulez, moi je m’en moque. » En un sens, j'aurais du me douter de son absence de réaction satisfaisante. Il aurait au moins pu faire semblant…Mais j'avais appris à ne rien attendre de mister Dashwood, au risque d'être déçue. Puis je m'en fichais, non, qu'il s'en moque ou pas? Ce n'était pas mon problème. C'était notre première nuit officielle et il n'y en aura sûrement pas d'autre vu le genre de type qu'il était. Ça ne m'aura pas dérangé en soi, car il savait se servir de ses atouts et n'avait pas froid aux yeux. Je savais apprécier sa technique, mais par moment j'avais une de ces envies de le gifler… Il revint assez vite à l'assaut de ma poitrine, déclenchant de nouvelles vagues de désir en moi. J'étais prête à un nouveau rapport, même à un troisième. A vrai dire j'étais prête à autant de rapport qu'il pourrait en tenir, restait à voir s'il était du genre endurant ou non… Il me caressa, ma peau frissonna. J'eus un gémissement discret, je sentais qu'il réagissait à nouveau. Qu'il avait envie de moi…Ça m'emplissait d'un sentiment étrange, en plus de prouver que j'avais raison. Il n'aurait pas pu partir en me plantant la, ou alors il se serait fini d'une manière moins…Noble. Il me bascula sur la table et mon désir s'alimenta d'une once de malsain. Le canapé passe encore, mais la table représente un côté plus…Sauvage. Le sexe pour le sexe, quand le manque ou l'envie se fait tellement sentir que l'on ne prend pas la peine de monter jusqu'au lit, ou de trouver un canapé. Une table basse, c'était la dessus que j'étais allongée. Une table glaciale, comparée à la chaleur de notre rapport, ce qui me fit me cambrer d'un coup, réflexe incontrôlé bien sur. Accroupit sur mes cuisses, je le sentais prêt à passer à nouveau à l'acte. J'avais fermé les yeux pour ne pas voir quand il le ferait et ressentir encore plus le plaisir mêlé à une certaine forme de surprise. Je ne fus pas déçue, car je criais presque lorsqu'il entra en moi. Je dis presque, mais j'aurais crié si je ne m'étais pas mordue la lèvre jusqu'au sang. Le sang…Un liquide qui me serait bientôt indispensable. Une drogue, une nourriture unique qui me rendrait puissante, immortelle…Je ne serais plus une humaine fragile dont on brise le cou d'une pression, non…Je serais le prédateur qui la brise. Mais pour l'instant, le prédateur était proie. Je subissais ses appétits coupables, ces mêmes appétits se jumelant avec les miens. Je gémissais au même rythme que ses coups de reins, jusqu'à sentir un nouvel orgasme. Il fut plus rapide que le premier, mon système nerveux étant toujours sensibilisé. Il lui fallait un moment pour retrouver une normalité…Mais je ne fus pas déçue. J'avais presque oublié Ailyn. Cette même Ailyn qui dans une demi heure, ou un quart d'heure peut être, allait franchir cette porte et nous trouver en pleine action –ou du moins nu. Je pensais à Ailyn, mais n'importe qui aurait pu descendre des dortoirs et nous trouver la, dans une scène d'amour plus que douteuse. Edward sur moi, moi criant même s'il ne m'entendrait pas…Cette perspective n'avait fait que m'exciter, durant tout notre rapport. La peur d'être vu…C'est tellement malsain. Je le laissais continuer, prenant plaisir à sentir sa jouissance proche. Lorsque ce fut le cas, il se sépara de moi. Je reprenais mon souffle, fixant le plafond. Je ne sais pas pourquoi, mais ces mots, ces simples mots, s'échappèrent d'entre mes lèvres. -Je vais devenir vampire.A cet instant, j'ignorais que j'aurais à le regretter à ce point. J'ignorais quelle serait sa réaction. Mais il semblait aimer les morsures, donc il devait aimer ceux qui la lui infligeaient…Ce raisonnement me paraissait tellement logique! Je me levais à demi, pour le regarder dans les yeux. -Si Ailyn m'a donné rendez-vous tout à l'heure, c'est pour me métamorphoser. Poudlard va être en proie à une bataille, elle l'a vu…Les jeunes vampires sont une force à l'état brute, je pourrais être utile…Puis tu sais si ça te branche, j'ai toujours eu un bon contrôle sur moi-même donc on pourra recommencer…Tu as l'air d'aimer les morsures, alors imagine le sexe avec un vampire!D'autant que je serais belle. J'allais être figée pour l'éternité dans l'âge le plus beau. J'allais rester pour toujours jeune, sans une ride, désirable à tout instant grâce aux charmes vampiriques. Ma peau serait parfaite, même si j'étais fort blanche de nature. Mes yeux deviendraient rouges lorsque j'aurais faim –tout le temps au début, du moins de ce que je savais. Mes pouvoirs se développeraient, et j'aurais la force de tuer mon passé…Au sens propre. -Pourquoi tu ne dis rien? Ça semble si…Incroyable?
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